Diogène, nom d'un chien !
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- Nombre de pages145
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.19 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-84712-512-2
- EAN9782847125122
- Date de parution01/12/2016
- CollectionLes Philousophes
- ÉditeurPetit Pavé (Editions Le)
- PréfacierJean-Paul Jouary
Résumé
Diogène, cet énergumène, cherchait un "homme" en plein jour dans les rues d'Athènes avec sa lanterne. Nom d'un chien, mais c'est bien sûr : au Ve siècle avant notre ère, le cynique (de cynos, le chien) pouvait passer pour un noble idéal : celui d'une recherche de la vérité, de rejet de tous les faire semblant sociaux, de retour à la Nature, d'écoute des besoins réels. Voici enfin un livre sur Diogène ni dans la vulgarisation à tout va ni dans l'érudition gratuite.
Avec ce penseur éclatent le scandale et la vérité sur le mensonge social ! On comprend la contradiction entre des moeurs peu ragoûtantes (le "cynisme" actuel) et la pensée philosophique ici présentée et connue dès l'Antiquité par des anecdotes sur sa "pauvreté choisie" (R. Maggiori). Diogène, ce clochard céleste, crache ses mots à la face des carriéristes. Ce n'est pas un petit chien-chien qu'on cajole ! Il n'a pas la folie des vaches sacrées.
Une mise à la question de notre existence, une satire du conformisme qui nous fait sacrifier la dignité au confort. Diogène n' est pas soluble dans la norme dominante. Les boulets rouges de ce franc-tireur, vingt-cinq siècles après, donnent encore le tournis en moquant notre vacuité et fatuité...
Avec ce penseur éclatent le scandale et la vérité sur le mensonge social ! On comprend la contradiction entre des moeurs peu ragoûtantes (le "cynisme" actuel) et la pensée philosophique ici présentée et connue dès l'Antiquité par des anecdotes sur sa "pauvreté choisie" (R. Maggiori). Diogène, ce clochard céleste, crache ses mots à la face des carriéristes. Ce n'est pas un petit chien-chien qu'on cajole ! Il n'a pas la folie des vaches sacrées.
Une mise à la question de notre existence, une satire du conformisme qui nous fait sacrifier la dignité au confort. Diogène n' est pas soluble dans la norme dominante. Les boulets rouges de ce franc-tireur, vingt-cinq siècles après, donnent encore le tournis en moquant notre vacuité et fatuité...
Diogène, cet énergumène, cherchait un "homme" en plein jour dans les rues d'Athènes avec sa lanterne. Nom d'un chien, mais c'est bien sûr : au Ve siècle avant notre ère, le cynique (de cynos, le chien) pouvait passer pour un noble idéal : celui d'une recherche de la vérité, de rejet de tous les faire semblant sociaux, de retour à la Nature, d'écoute des besoins réels. Voici enfin un livre sur Diogène ni dans la vulgarisation à tout va ni dans l'érudition gratuite.
Avec ce penseur éclatent le scandale et la vérité sur le mensonge social ! On comprend la contradiction entre des moeurs peu ragoûtantes (le "cynisme" actuel) et la pensée philosophique ici présentée et connue dès l'Antiquité par des anecdotes sur sa "pauvreté choisie" (R. Maggiori). Diogène, ce clochard céleste, crache ses mots à la face des carriéristes. Ce n'est pas un petit chien-chien qu'on cajole ! Il n'a pas la folie des vaches sacrées.
Une mise à la question de notre existence, une satire du conformisme qui nous fait sacrifier la dignité au confort. Diogène n' est pas soluble dans la norme dominante. Les boulets rouges de ce franc-tireur, vingt-cinq siècles après, donnent encore le tournis en moquant notre vacuité et fatuité...
Avec ce penseur éclatent le scandale et la vérité sur le mensonge social ! On comprend la contradiction entre des moeurs peu ragoûtantes (le "cynisme" actuel) et la pensée philosophique ici présentée et connue dès l'Antiquité par des anecdotes sur sa "pauvreté choisie" (R. Maggiori). Diogène, ce clochard céleste, crache ses mots à la face des carriéristes. Ce n'est pas un petit chien-chien qu'on cajole ! Il n'a pas la folie des vaches sacrées.
Une mise à la question de notre existence, une satire du conformisme qui nous fait sacrifier la dignité au confort. Diogène n' est pas soluble dans la norme dominante. Les boulets rouges de ce franc-tireur, vingt-cinq siècles après, donnent encore le tournis en moquant notre vacuité et fatuité...


















