Dieu et le savoir selon Schleiermacher

Par : Dominique Ndeh

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  • Nombre de pages95
  • PrésentationBroché
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-296-11261-2
  • EAN9782296112612
  • Date de parution01/02/2010
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le savoir pour l'homme ordinaire est une évidence. Il se pose rarement la question : comment le savoir est-il possible ? En effet, il ne se doute pas que le savoir présuppose l'union de deux éléments hétérogènes : le réel et l'idéal, l'objet et la pensée. Comment la pensée peut-elle être adéquate à l'objet ? C'est la question que Schleiermacher (1768-1834) se pose dans sa Dialectique. Pour lui, la condition de possibilité du savoir présuppose Dieu comme fondement du savoir.
Dieu est l'unité absolue du réel et de l'idéal et fonde ainsi l'idée du savoir comme unité relative du réel et de l'idéal. Si le savoir appartient à l'individu, il ne se construit pas de façon solitaire. C'est une oeuvre intersubjective. Et cette intersubjectivité confère au savoir sa dimension universelle. Cependant une question reste posée : comment sait-on qu'on sait ?
Le savoir pour l'homme ordinaire est une évidence. Il se pose rarement la question : comment le savoir est-il possible ? En effet, il ne se doute pas que le savoir présuppose l'union de deux éléments hétérogènes : le réel et l'idéal, l'objet et la pensée. Comment la pensée peut-elle être adéquate à l'objet ? C'est la question que Schleiermacher (1768-1834) se pose dans sa Dialectique. Pour lui, la condition de possibilité du savoir présuppose Dieu comme fondement du savoir.
Dieu est l'unité absolue du réel et de l'idéal et fonde ainsi l'idée du savoir comme unité relative du réel et de l'idéal. Si le savoir appartient à l'individu, il ne se construit pas de façon solitaire. C'est une oeuvre intersubjective. Et cette intersubjectivité confère au savoir sa dimension universelle. Cependant une question reste posée : comment sait-on qu'on sait ?