Dialogues sur la morale et la religion. Suivis de Mémoire pour des personnes éclairées et de bonne intention

Par : Gottfried-Wilhelm Leibniz

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages174
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.157 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7116-2780-6
  • EAN9782711627806
  • Date de parution01/10/2017
  • CollectionTextes Philosophiques
  • ÉditeurVrin
  • TraducteurPaul Rateau

Résumé

Ces dialogues sur la morale et la religion, dont Jean Baruzi n'avait édité qu'une partie sous le titre Trois dialogues mystiques inédits de Leibniz (1905), portent sur la piété ou amour de Dieu sur toutes choses. Cet amour consiste, selon Leibniz (1646-1716), dans la connaissance de la nature et de son divin auteur, ainsi que dans une action orientée vers le bonheur du genre humain. Ecrits vers 1679, les dialogues sont un éloge de la raison et une exhortation à l'employer, dans le domaine théorique comme pratique, contre toutes les formes que peut prendre l'antiphilosophie (fidéisme, indifférentisme, scepticisme).
La science doit être cultivée car elle est une célébration de Dieu autant qu'une oeuvre au service de l'homme. Leibniz la conçoit comme le fruit d'un travail collectif, inlassablement poursuivi, qui suppose une étroite collaboration entre les savants, leur respect commun de certains principes et l'appui des autorités politiques. Le lien essentiel entre progrès scientifique, félicité de l'homme et gloire de Dieu est particulièrement illustré par le Mémoire pour des personnes éclairées et de bonne intention (rédigé entre 1692 et 1695), publié en appendice.
Ces dialogues sur la morale et la religion, dont Jean Baruzi n'avait édité qu'une partie sous le titre Trois dialogues mystiques inédits de Leibniz (1905), portent sur la piété ou amour de Dieu sur toutes choses. Cet amour consiste, selon Leibniz (1646-1716), dans la connaissance de la nature et de son divin auteur, ainsi que dans une action orientée vers le bonheur du genre humain. Ecrits vers 1679, les dialogues sont un éloge de la raison et une exhortation à l'employer, dans le domaine théorique comme pratique, contre toutes les formes que peut prendre l'antiphilosophie (fidéisme, indifférentisme, scepticisme).
La science doit être cultivée car elle est une célébration de Dieu autant qu'une oeuvre au service de l'homme. Leibniz la conçoit comme le fruit d'un travail collectif, inlassablement poursuivi, qui suppose une étroite collaboration entre les savants, leur respect commun de certains principes et l'appui des autorités politiques. Le lien essentiel entre progrès scientifique, félicité de l'homme et gloire de Dieu est particulièrement illustré par le Mémoire pour des personnes éclairées et de bonne intention (rédigé entre 1692 et 1695), publié en appendice.
Correspondance
Gottfried-Wilhelm Leibniz, Burcher De Volder
30,00 €
Philosophie N° 75 Décembre 2002
Denise Souche-Dagues, Philippe Huneman, Leo Strauss, Hans-Georg Gadamer, Gottfried-Wilhelm Leibniz
10,00 €