Des altérations réciproques de la conscience et de la réalité. Renaissance de la métaphysique
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- Nombre de pages116
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.151 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-343-20470-3
- EAN9782343204703
- Date de parution05/06/2020
- CollectionOuverture philosophique
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Qu'y a-t-il ? Qui surgit ? Et à qui, pour qui ? Qui est "il y a" ? Questions que les métaphysiciens, chacun avec sa sensibilité, son intuition, autant que sa raison, se posent depuis toujours. Jusqu'à finir par les délaisser : plutôt que s'attaquer à l'indécidable, ne vaut-il pas mieux approcher, comme nous y invite Kant, le fonctionnement même de la conscience, y compris cette obstination à vouloir concevoir l'inconcevable.
Il est question ici de proposer une modélisation, inédite, de la conscience et de ses interactions avec le réel. Un usage — modéré — des mathématiques permet d'espérer des liens avec les neurosciences. Une vision décomplexée, par rapport à celle de tous les illustres prédécesseurs, née du sentiment d'une approche radicalement nouvelle. Un oeil neuf est porté sur des phénomènes aussi divers que la communion, le processus créatif, notre relation aux autres êtres vivants et à la nature, et même sur la question de l'être chez Proust, premier "métaphysicien en action".
Renaissance de la métaphysique ?
Il est question ici de proposer une modélisation, inédite, de la conscience et de ses interactions avec le réel. Un usage — modéré — des mathématiques permet d'espérer des liens avec les neurosciences. Une vision décomplexée, par rapport à celle de tous les illustres prédécesseurs, née du sentiment d'une approche radicalement nouvelle. Un oeil neuf est porté sur des phénomènes aussi divers que la communion, le processus créatif, notre relation aux autres êtres vivants et à la nature, et même sur la question de l'être chez Proust, premier "métaphysicien en action".
Renaissance de la métaphysique ?
Qu'y a-t-il ? Qui surgit ? Et à qui, pour qui ? Qui est "il y a" ? Questions que les métaphysiciens, chacun avec sa sensibilité, son intuition, autant que sa raison, se posent depuis toujours. Jusqu'à finir par les délaisser : plutôt que s'attaquer à l'indécidable, ne vaut-il pas mieux approcher, comme nous y invite Kant, le fonctionnement même de la conscience, y compris cette obstination à vouloir concevoir l'inconcevable.
Il est question ici de proposer une modélisation, inédite, de la conscience et de ses interactions avec le réel. Un usage — modéré — des mathématiques permet d'espérer des liens avec les neurosciences. Une vision décomplexée, par rapport à celle de tous les illustres prédécesseurs, née du sentiment d'une approche radicalement nouvelle. Un oeil neuf est porté sur des phénomènes aussi divers que la communion, le processus créatif, notre relation aux autres êtres vivants et à la nature, et même sur la question de l'être chez Proust, premier "métaphysicien en action".
Renaissance de la métaphysique ?
Il est question ici de proposer une modélisation, inédite, de la conscience et de ses interactions avec le réel. Un usage — modéré — des mathématiques permet d'espérer des liens avec les neurosciences. Une vision décomplexée, par rapport à celle de tous les illustres prédécesseurs, née du sentiment d'une approche radicalement nouvelle. Un oeil neuf est porté sur des phénomènes aussi divers que la communion, le processus créatif, notre relation aux autres êtres vivants et à la nature, et même sur la question de l'être chez Proust, premier "métaphysicien en action".
Renaissance de la métaphysique ?