Dérives, dévoiements et divagations. Comment les idéologies défont la langue et la culture
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- Nombre de pages400
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.512 kg
- Dimensions14,1 cm × 22,0 cm × 3,4 cm
- ISBN978-2-8100-1280-0
- EAN9782810012800
- Date de parution28/05/2025
- ÉditeurToucan (Editions du)
Résumé
Pour Pierre Hartmann, la langue est notre bien le plus précieux, le vecteur essentiel de toute émancipation individuelle ou collective. Or, il prouve dans ce livre qu'en un demi-siècle la langue française s'est considérablement dégradée. Il souligne que l'appauvrissement du vocabulaire, l'effondrement de la syntaxe et la quasi-disparition de son riche système temporel vont de pair avec une simplification de la pensée propice au déploiement d'idéologies délétères, souvent importées des Etats-Unis via les réseaux prétendument sociaux.
Il montre comment la néo-contestation woke cherche à nous imposer une vision falsifiée du monde et de son histoire, en rupture avec les principes humanistes et les luttes menées dans le passé. Passant au crible ces dévoiements de l'ancienne critique, il révèle ce faisant une dérive générale qui affecte tous les domaines de la culture et de la pensée et met en lumière certaines divagations frappantes dans les domaines de la littérature contemporaine, de l'étude philosophique ou littéraire et de la scène lyrique ou dramatique.
Pour l'auteur, si les idéologies inventent des néologismes qui s'infiltrent à notre insu dans nos usages, si elles cherchent à bannir certains mots pour modifier notre perception du monde, le seul moyen de les combattre est de faire preuve de déférence à l'égard tant de la langue qui nous a été transmise que d'une culture dont il s'agit avant tout de préserver la haute valeur émancipatrice.
Il montre comment la néo-contestation woke cherche à nous imposer une vision falsifiée du monde et de son histoire, en rupture avec les principes humanistes et les luttes menées dans le passé. Passant au crible ces dévoiements de l'ancienne critique, il révèle ce faisant une dérive générale qui affecte tous les domaines de la culture et de la pensée et met en lumière certaines divagations frappantes dans les domaines de la littérature contemporaine, de l'étude philosophique ou littéraire et de la scène lyrique ou dramatique.
Pour l'auteur, si les idéologies inventent des néologismes qui s'infiltrent à notre insu dans nos usages, si elles cherchent à bannir certains mots pour modifier notre perception du monde, le seul moyen de les combattre est de faire preuve de déférence à l'égard tant de la langue qui nous a été transmise que d'une culture dont il s'agit avant tout de préserver la haute valeur émancipatrice.
Pour Pierre Hartmann, la langue est notre bien le plus précieux, le vecteur essentiel de toute émancipation individuelle ou collective. Or, il prouve dans ce livre qu'en un demi-siècle la langue française s'est considérablement dégradée. Il souligne que l'appauvrissement du vocabulaire, l'effondrement de la syntaxe et la quasi-disparition de son riche système temporel vont de pair avec une simplification de la pensée propice au déploiement d'idéologies délétères, souvent importées des Etats-Unis via les réseaux prétendument sociaux.
Il montre comment la néo-contestation woke cherche à nous imposer une vision falsifiée du monde et de son histoire, en rupture avec les principes humanistes et les luttes menées dans le passé. Passant au crible ces dévoiements de l'ancienne critique, il révèle ce faisant une dérive générale qui affecte tous les domaines de la culture et de la pensée et met en lumière certaines divagations frappantes dans les domaines de la littérature contemporaine, de l'étude philosophique ou littéraire et de la scène lyrique ou dramatique.
Pour l'auteur, si les idéologies inventent des néologismes qui s'infiltrent à notre insu dans nos usages, si elles cherchent à bannir certains mots pour modifier notre perception du monde, le seul moyen de les combattre est de faire preuve de déférence à l'égard tant de la langue qui nous a été transmise que d'une culture dont il s'agit avant tout de préserver la haute valeur émancipatrice.
Il montre comment la néo-contestation woke cherche à nous imposer une vision falsifiée du monde et de son histoire, en rupture avec les principes humanistes et les luttes menées dans le passé. Passant au crible ces dévoiements de l'ancienne critique, il révèle ce faisant une dérive générale qui affecte tous les domaines de la culture et de la pensée et met en lumière certaines divagations frappantes dans les domaines de la littérature contemporaine, de l'étude philosophique ou littéraire et de la scène lyrique ou dramatique.
Pour l'auteur, si les idéologies inventent des néologismes qui s'infiltrent à notre insu dans nos usages, si elles cherchent à bannir certains mots pour modifier notre perception du monde, le seul moyen de les combattre est de faire preuve de déférence à l'égard tant de la langue qui nous a été transmise que d'une culture dont il s'agit avant tout de préserver la haute valeur émancipatrice.