L'écriture poétique et fragmentaire d'Elisabeth Morcellet nous emmène dans une autofiction mystérieuse, un journal de bord où la narratrice questionne l'avenir de la Terre qui "fait ses derniers voeux" , la Vie, la science... Depuis qu'elle a reçu un coup sur la tête il y a six jours, elle voyage dans sa mémoire et tente de se souvenir. Qu'est-il vraiment arrivé à elle et à l'humanité entière ? "Le ciel bleu lavé s'éclaire d'un soleil encore froid.
Un soupçon de pollution crème, voile la vapeur nuageuse. Le printemps ne s'installera pas avant deux mois. Sauf si le climat continue de se détraquer. Je ne sortirai pas ce samedi encore. Chaque geste vers l'extérieur s'avère impossible. Les choses régressent ou, s'éternisent. Les gens manifestent dans les rues. Depuis trois mois l'usage de la parole n'offre aucune réconciliation. L'anonymat renforce ses pouvoirs.
La violence cherche un nouveau règne à la barbarie et glisse vers la terreur. Mélange de haine, dépit ou désespoir ? "
L'écriture poétique et fragmentaire d'Elisabeth Morcellet nous emmène dans une autofiction mystérieuse, un journal de bord où la narratrice questionne l'avenir de la Terre qui "fait ses derniers voeux" , la Vie, la science... Depuis qu'elle a reçu un coup sur la tête il y a six jours, elle voyage dans sa mémoire et tente de se souvenir. Qu'est-il vraiment arrivé à elle et à l'humanité entière ? "Le ciel bleu lavé s'éclaire d'un soleil encore froid.
Un soupçon de pollution crème, voile la vapeur nuageuse. Le printemps ne s'installera pas avant deux mois. Sauf si le climat continue de se détraquer. Je ne sortirai pas ce samedi encore. Chaque geste vers l'extérieur s'avère impossible. Les choses régressent ou, s'éternisent. Les gens manifestent dans les rues. Depuis trois mois l'usage de la parole n'offre aucune réconciliation. L'anonymat renforce ses pouvoirs.
La violence cherche un nouveau règne à la barbarie et glisse vers la terreur. Mélange de haine, dépit ou désespoir ? "