De la misère symbolique. Tome 1. L'époque hyperindustrielle
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- Nombre de pages194
- PrésentationBroché
- Poids0.29 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,8 cm × 1,8 cm
- ISBN2-7186-0635-5
- EAN9782718606354
- Date de parution11/03/2004
- CollectionIncises
- ÉditeurGalilée
Résumé
Cet ouvrage est la poursuite d'une réflexion sur la destruction du narcissisme primordial qui a résulté de la canalisation de la libido des consommateurs vers les objets de la consommation, dont l'auteur a entamé l'analyse dans Aimer, s'aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, paru en 2003. Notre époque se caractérise comme prise de contrôle du symbolique par la technologie industrielle, où l'esthétique est devenue à la fois l'arme et le théâtre de la guerre économique. Il en résulte une misère où le conditionnement se substitue à l'expérience. Cette misère est une honte, celle qu'éprouve parfois le philosophe comme " un des motifs les plus puissants de la philosophie, ce qui en fait forcément une philosophie politique " (Gilles Deleuze). La " honte d'être un homme " est suscitée d'abord, aujourd'hui, par cette misère symbolique telle que l'engendrent les " sociétés de contrôle ". À cet égard au moins, cet ouvrage en deux tomes est un commentaire du Post-scriptum aux sociétés de contrôle de Deleuze. Pour
comprendre les tendances historiques qui ont conduit à la spécificité du temps présent, il tente d'ébaucher les concepts d'organologie générale et de généalogie de l'esthétique.
Cet ouvrage est la poursuite d'une réflexion sur la destruction du narcissisme primordial qui a résulté de la canalisation de la libido des consommateurs vers les objets de la consommation, dont l'auteur a entamé l'analyse dans Aimer, s'aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, paru en 2003. Notre époque se caractérise comme prise de contrôle du symbolique par la technologie industrielle, où l'esthétique est devenue à la fois l'arme et le théâtre de la guerre économique. Il en résulte une misère où le conditionnement se substitue à l'expérience. Cette misère est une honte, celle qu'éprouve parfois le philosophe comme " un des motifs les plus puissants de la philosophie, ce qui en fait forcément une philosophie politique " (Gilles Deleuze). La " honte d'être un homme " est suscitée d'abord, aujourd'hui, par cette misère symbolique telle que l'engendrent les " sociétés de contrôle ". À cet égard au moins, cet ouvrage en deux tomes est un commentaire du Post-scriptum aux sociétés de contrôle de Deleuze. Pour
comprendre les tendances historiques qui ont conduit à la spécificité du temps présent, il tente d'ébaucher les concepts d'organologie générale et de généalogie de l'esthétique.