De la bienveillance envers soi-même
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- Nombre de pages92
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.075 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-38255-040-3
- EAN9782382550403
- Date de parution26/05/2022
- CollectionPSYCHOLOGIE ET DEVELOPPEMENT P
- ÉditeurEntremises (Editions)
Résumé
Disposition naturelle qui tend librement vers le bien, la bienveillance est aussi cette vertu politiquement hyper-correcte que notre société convoque pour justifier les injonctions les plus nauséeuses : " sois bienveillant ", " agis avec bienveillance ", " adopte un management bienveillant ", jusqu'au fameux impératif indigeste : l'incontournable " regard bienveillant ". Or, nous dit Elsa Godart, le sentiment d'humanité ne se décrète pas – et le danger des injonctions, c'est que, bien souvent, on les applique sans les penser.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux " devoirs-être " nous engageant finalement à " être " vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde – ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux " devoirs-être " nous engageant finalement à " être " vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde – ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.
Disposition naturelle qui tend librement vers le bien, la bienveillance est aussi cette vertu politiquement hyper-correcte que notre société convoque pour justifier les injonctions les plus nauséeuses : " sois bienveillant ", " agis avec bienveillance ", " adopte un management bienveillant ", jusqu'au fameux impératif indigeste : l'incontournable " regard bienveillant ". Or, nous dit Elsa Godart, le sentiment d'humanité ne se décrète pas – et le danger des injonctions, c'est que, bien souvent, on les applique sans les penser.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux " devoirs-être " nous engageant finalement à " être " vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde – ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux " devoirs-être " nous engageant finalement à " être " vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde – ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.