De l'exil. Zehra, une femme kabyle
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- Nombre de pages213
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.31 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,8 cm
- ISBN2-8257-0652-3
- EAN9782825706527
- Date de parution04/11/1999
- ÉditeurGeorg (Editeur)
Résumé
Franchir la mer, rejoindre un mari qu'elle ne connaît pas, que l'on a choisi pour elle : cet au-delà mythique deviendra pour Zehra comme pourtant d'autres le lieu de son malheur et une terre d'exil, déliquescence du coeur et de l'esprit. La rencontre de Zehra, paysanne illettrée, et de Nadia l'universitaire, qui partagent la même poésie de la langue et du souvenir, nous donne ce texte d'une grande profondeur humaine.
L'exil, celui des femmes en particulier, est au coeur de ce livre, à la fois comme objet de réflexion et condition existentielle de son auteur. Par une écriture vivante, ce livre va au vif du sujet pour restituer, à travers une subjectivité affirmée, la réalité singulière, éminemment humaine, d'un phénomène - migration - que trop d'images déforment. L'écriture se fonde sur l'oralité dans quelques-unes de ses dimensions : comme mode d'expression privilégié d'une société marquée par l'exil - la société kabyle-, comme parole partagée qui dit l'exil des uns et des autres, enfin comme parole intérieure, compagne ineffable de la solitude, Mais au-delà du thème principal, une préoccupation hante l'auteur : celle de mettre en place une approche anthropologique affranchie de l'évolutionnisme social qui continue de marquer en profondeur la discipline.
L'exil, celui des femmes en particulier, est au coeur de ce livre, à la fois comme objet de réflexion et condition existentielle de son auteur. Par une écriture vivante, ce livre va au vif du sujet pour restituer, à travers une subjectivité affirmée, la réalité singulière, éminemment humaine, d'un phénomène - migration - que trop d'images déforment. L'écriture se fonde sur l'oralité dans quelques-unes de ses dimensions : comme mode d'expression privilégié d'une société marquée par l'exil - la société kabyle-, comme parole partagée qui dit l'exil des uns et des autres, enfin comme parole intérieure, compagne ineffable de la solitude, Mais au-delà du thème principal, une préoccupation hante l'auteur : celle de mettre en place une approche anthropologique affranchie de l'évolutionnisme social qui continue de marquer en profondeur la discipline.
Franchir la mer, rejoindre un mari qu'elle ne connaît pas, que l'on a choisi pour elle : cet au-delà mythique deviendra pour Zehra comme pourtant d'autres le lieu de son malheur et une terre d'exil, déliquescence du coeur et de l'esprit. La rencontre de Zehra, paysanne illettrée, et de Nadia l'universitaire, qui partagent la même poésie de la langue et du souvenir, nous donne ce texte d'une grande profondeur humaine.
L'exil, celui des femmes en particulier, est au coeur de ce livre, à la fois comme objet de réflexion et condition existentielle de son auteur. Par une écriture vivante, ce livre va au vif du sujet pour restituer, à travers une subjectivité affirmée, la réalité singulière, éminemment humaine, d'un phénomène - migration - que trop d'images déforment. L'écriture se fonde sur l'oralité dans quelques-unes de ses dimensions : comme mode d'expression privilégié d'une société marquée par l'exil - la société kabyle-, comme parole partagée qui dit l'exil des uns et des autres, enfin comme parole intérieure, compagne ineffable de la solitude, Mais au-delà du thème principal, une préoccupation hante l'auteur : celle de mettre en place une approche anthropologique affranchie de l'évolutionnisme social qui continue de marquer en profondeur la discipline.
L'exil, celui des femmes en particulier, est au coeur de ce livre, à la fois comme objet de réflexion et condition existentielle de son auteur. Par une écriture vivante, ce livre va au vif du sujet pour restituer, à travers une subjectivité affirmée, la réalité singulière, éminemment humaine, d'un phénomène - migration - que trop d'images déforment. L'écriture se fonde sur l'oralité dans quelques-unes de ses dimensions : comme mode d'expression privilégié d'une société marquée par l'exil - la société kabyle-, comme parole partagée qui dit l'exil des uns et des autres, enfin comme parole intérieure, compagne ineffable de la solitude, Mais au-delà du thème principal, une préoccupation hante l'auteur : celle de mettre en place une approche anthropologique affranchie de l'évolutionnisme social qui continue de marquer en profondeur la discipline.