Quelle est donc cette vérité revendiquée par le Chercheur en allégories sociales et familiales soi-disant perdues ? D'abord, qu'avec son OEdipe maltraité, en un ou deux mots, parce que dès le départ laissé à la mère, l'écriture proustienne ne pouvait qu'être celle de ses faux départs. C'est ce que l'on a tenté de montrer dans un premier volume. Roman collectif symbolique, ou récit historique personnel ? , voilà ce que cherche à démêler le second, dans certaines approches de ses adolescences célibataires, imprégnées de classicisme satirique de lui-même.Avant d'aborder enfin le Conatus proustien spécifique, certainement issu de la certitude première qu'un empilement d'aperceptions relativement anecdotiques et piégeuses ne font pas un Savoir unifié et traçable : "Dea Sive Datura ! " Partons de ce point de vue : l'aîné des fils poursuit à l'envers - pour la nier diplomatiquement - la courbe de la dissection confraternelle, plutôt pandémique pour le père, et chirurgicale pour le frère, par une thérapie du débordement contenu mais continu.
Alors il a besoin d'un axiome initial à remettre en doute en permanence pour mieux le fonder. Ce sera celui de l'expérience de salon, jusqu'à extinction de ses cellules-souches, et avant compte-rendu universalisable : la rose, c'est la vie. Foin donc des antiques réminiscences, des pendules à rebours et des portraits-charge, la phrase anglaise de Proust couvrant toutes ces données circonstancielles de ses escaliers digressifs tombant parfois dans le vide d'un flux de pensée suicidaire-lent.
Le philosophe-amateur sort soudain de son cauchemar fin-de-siècle, pour ne garder de ces structures devenues mythiques qu'un air de mystique fluide : on aurait bien tort de le généraliser, comme un conte allemand complexe pour Freud, un sucre fondant chez Bergson ou un commandement de Rosenroth. La Cabale-Ha-Marcel en sortira beaucoup plus riche de ses polémiques dépassées.
Quelle est donc cette vérité revendiquée par le Chercheur en allégories sociales et familiales soi-disant perdues ? D'abord, qu'avec son OEdipe maltraité, en un ou deux mots, parce que dès le départ laissé à la mère, l'écriture proustienne ne pouvait qu'être celle de ses faux départs. C'est ce que l'on a tenté de montrer dans un premier volume. Roman collectif symbolique, ou récit historique personnel ? , voilà ce que cherche à démêler le second, dans certaines approches de ses adolescences célibataires, imprégnées de classicisme satirique de lui-même.Avant d'aborder enfin le Conatus proustien spécifique, certainement issu de la certitude première qu'un empilement d'aperceptions relativement anecdotiques et piégeuses ne font pas un Savoir unifié et traçable : "Dea Sive Datura ! " Partons de ce point de vue : l'aîné des fils poursuit à l'envers - pour la nier diplomatiquement - la courbe de la dissection confraternelle, plutôt pandémique pour le père, et chirurgicale pour le frère, par une thérapie du débordement contenu mais continu.
Alors il a besoin d'un axiome initial à remettre en doute en permanence pour mieux le fonder. Ce sera celui de l'expérience de salon, jusqu'à extinction de ses cellules-souches, et avant compte-rendu universalisable : la rose, c'est la vie. Foin donc des antiques réminiscences, des pendules à rebours et des portraits-charge, la phrase anglaise de Proust couvrant toutes ces données circonstancielles de ses escaliers digressifs tombant parfois dans le vide d'un flux de pensée suicidaire-lent.
Le philosophe-amateur sort soudain de son cauchemar fin-de-siècle, pour ne garder de ces structures devenues mythiques qu'un air de mystique fluide : on aurait bien tort de le généraliser, comme un conte allemand complexe pour Freud, un sucre fondant chez Bergson ou un commandement de Rosenroth. La Cabale-Ha-Marcel en sortira beaucoup plus riche de ses polémiques dépassées.