Né à Vichy le 29 août 1881, Valery Larbaud est poète, nouvelliste, romancier et traducteur. Héritier d'une famille fortunée, il parcourt l'Europe à partir de 1898 à grands frais, continent qu'il chante dans Poèmes par un riche amateur ou Ouvres françaises de M. Barnabooth, avant de publier un roman, Fermina Márquez, et un premier recueil de nouvelles (Enfantines). Il fréquente tous les milieux littéraires. Polyglotte, il fait connaître en France des ouvres majeures de la littérature étrangère, dont celles de Samuel Butter et de James Joyce. Devenu aphasique en 1935, il finit sa vie paralysé. Il reçoit le Grand Prix national des Lettres en 1952 et meurt à Vichy en 1957.
Correspondance. Tome 1, 1899-1909
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- Nombre de pages390
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.425 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,5 cm
- ISBN2-07-028645-2
- EAN9782070286454
- Date de parution10/04/1979
- CollectionBlanche
- ÉditeurGallimard
Résumé
Cette correspondance, la plus longue des correspondances de Larbaud, n'est pas un échange entre deux hommes de lettres. Marcel Ray est un inconnu en littérature, et si son nom est accolé à celui de Larbaud sur la couverture d'un livre, c'est grâce à sa qualité d'ami le plus ancien et le plus intime de l'écrivain. Mais justement, les liens du souvenir, de l'affection, du temps aussi (cette correspondance débute alors que Larbaud a dix-huit ans et se poursuit jusqu'à la fin de sa vie active), donnent à ce commerce épistolaire un caractère assez exceptionnel.
On possède sur Larbaud peu de témoignages aussi suivis et aussi spontanés. Dans ces lettres, deux hommes fous de littérature, sensibles à tous les nouveaux courants de pensée, attentifs à tout ce qui s'écrit en France, mais aussi en Allemagne, en Angleterre, en Italie, en Amérique du Sud parlent avec tellement de chaleur de ce qu'ils aiment et de ce qu'ils se font découvrir l'un à l'autre que le lecteur ne peut qu'être gagné par leur passion.
Il y a aussi, à travers toutes ces années, leur vie qui court comme un roman.
On possède sur Larbaud peu de témoignages aussi suivis et aussi spontanés. Dans ces lettres, deux hommes fous de littérature, sensibles à tous les nouveaux courants de pensée, attentifs à tout ce qui s'écrit en France, mais aussi en Allemagne, en Angleterre, en Italie, en Amérique du Sud parlent avec tellement de chaleur de ce qu'ils aiment et de ce qu'ils se font découvrir l'un à l'autre que le lecteur ne peut qu'être gagné par leur passion.
Il y a aussi, à travers toutes ces années, leur vie qui court comme un roman.
Cette correspondance, la plus longue des correspondances de Larbaud, n'est pas un échange entre deux hommes de lettres. Marcel Ray est un inconnu en littérature, et si son nom est accolé à celui de Larbaud sur la couverture d'un livre, c'est grâce à sa qualité d'ami le plus ancien et le plus intime de l'écrivain. Mais justement, les liens du souvenir, de l'affection, du temps aussi (cette correspondance débute alors que Larbaud a dix-huit ans et se poursuit jusqu'à la fin de sa vie active), donnent à ce commerce épistolaire un caractère assez exceptionnel.
On possède sur Larbaud peu de témoignages aussi suivis et aussi spontanés. Dans ces lettres, deux hommes fous de littérature, sensibles à tous les nouveaux courants de pensée, attentifs à tout ce qui s'écrit en France, mais aussi en Allemagne, en Angleterre, en Italie, en Amérique du Sud parlent avec tellement de chaleur de ce qu'ils aiment et de ce qu'ils se font découvrir l'un à l'autre que le lecteur ne peut qu'être gagné par leur passion.
Il y a aussi, à travers toutes ces années, leur vie qui court comme un roman.
On possède sur Larbaud peu de témoignages aussi suivis et aussi spontanés. Dans ces lettres, deux hommes fous de littérature, sensibles à tous les nouveaux courants de pensée, attentifs à tout ce qui s'écrit en France, mais aussi en Allemagne, en Angleterre, en Italie, en Amérique du Sud parlent avec tellement de chaleur de ce qu'ils aiment et de ce qu'ils se font découvrir l'un à l'autre que le lecteur ne peut qu'être gagné par leur passion.
Il y a aussi, à travers toutes ces années, leur vie qui court comme un roman.