Florent SARNETTE Docteur en psychologie (Ph. D. ) - Psychologue clinicien – Centre Hospitalier d'Alès – Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes - Membre associé au LAPCOS - Université Côte d'Azur
Corps et prison. Murs et dé-corps en détention
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.323 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-346-0832-4
- EAN9791034608324
- Date de parution23/11/2023
- ÉditeurChamp Social (Editions)
Résumé
En 2022, sous l'impulsion des soignants de l'unité de soins en milieu pénitentiaire intervenant en centre pénitentiaire, chercheurs et artistes internationaux se sont retrouvés à l'université d'Avignon pour évoquer et réfléchir sur la place du corps en détention. Enjeux psychique, philosophique, anthropologique, médical, mais également complexe et non réductible à une quelconque logique, le corps peut se faire objet qui se modèle ou surface sur laquelle s'inscrit l'indicible.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être sur veillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui par fois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée. L'ouvrage a été dirigé et coordonné par Florent Sarnette, Christine Dominique Bataillard, Elodie Monier, Joëlle Palma et Anthony Viscart, tous soignants.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être sur veillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui par fois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée. L'ouvrage a été dirigé et coordonné par Florent Sarnette, Christine Dominique Bataillard, Elodie Monier, Joëlle Palma et Anthony Viscart, tous soignants.
En 2022, sous l'impulsion des soignants de l'unité de soins en milieu pénitentiaire intervenant en centre pénitentiaire, chercheurs et artistes internationaux se sont retrouvés à l'université d'Avignon pour évoquer et réfléchir sur la place du corps en détention. Enjeux psychique, philosophique, anthropologique, médical, mais également complexe et non réductible à une quelconque logique, le corps peut se faire objet qui se modèle ou surface sur laquelle s'inscrit l'indicible.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être sur veillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui par fois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée. L'ouvrage a été dirigé et coordonné par Florent Sarnette, Christine Dominique Bataillard, Elodie Monier, Joëlle Palma et Anthony Viscart, tous soignants.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être sur veillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui par fois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée. L'ouvrage a été dirigé et coordonné par Florent Sarnette, Christine Dominique Bataillard, Elodie Monier, Joëlle Palma et Anthony Viscart, tous soignants.