Florent SARNETTE Docteur en psychologie (Ph. D. ) - Psychologue clinicien – Centre Hospitalier d'Alès – Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes - Membre associé au LAPCOS - Université Côte d'Azur
Corps et prison. Murs et dé-corps en détention
Par : , , , ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-346-0858-4
- EAN9791034608584
- Date de parution27/11/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurChamp social Editions
Résumé
En 2022, sous l'impulsion des soignants de l'unité de soins en milieu pénitentiaire intervenant en centre pénitentiaire, chercheurs et artistes internationaux se sont retrouvés à l'université d'Avignon pour évoquer et réfléchir sur la place du corps en détention.
Enjeux psychique, philosophique, anthropologique, médical, mais également complexe et non réductible à une quelconque logique, le corps peut se faire objet qui se modèle ou surface sur laquelle s'inscrit l'indicible.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être surveillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui parfois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être surveillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui parfois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée.
En 2022, sous l'impulsion des soignants de l'unité de soins en milieu pénitentiaire intervenant en centre pénitentiaire, chercheurs et artistes internationaux se sont retrouvés à l'université d'Avignon pour évoquer et réfléchir sur la place du corps en détention.
Enjeux psychique, philosophique, anthropologique, médical, mais également complexe et non réductible à une quelconque logique, le corps peut se faire objet qui se modèle ou surface sur laquelle s'inscrit l'indicible.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être surveillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui parfois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée.
Il se donne à voir, mais peut aussi se faire invisible, il peut être revendicatif comme tabou. Il doit être surveillé, parfois isolé. Il est pansé, soigné, et même parlé, mais aussi abandonné. Il est transformé, modifié, il écrit et l'on écrit dessus. Il se sexualise, se fait sujet, mais peut aussi être attaqué, mutilé. Il traverse l'histoire, mais peut aussi être une histoire qui parfois cherche un conteur.
Il s'investit et s'habite, mais peut aussi être lieu de l'oubli et errer de cellule en cellule. Ce livre ne se limite pas à la publication d'actes, il est une proposition de continuité et d'ouverture, un moment d'après colloque, pour que la réflexion se poursuive, une invitation à ne jamais faire taire la pensée.