Le Sophiste
Poche
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Contre Platon. Tome 2, Le platonisme renversé
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- Nombre de pages322
- PrésentationBroché
- Poids0.42 kg
- Dimensions21,5 cm × 13,5 cm × 2,0 cm
- ISBN2-7116-1186-8
- EAN9782711611867
- Date de parution01/12/1995
- ÉditeurVrin
Résumé
Ce volume, qui s'attache aux différentes figures de l'antiplatonisme à l'époque moderne et contemporaine, s'organise selon trois perspectives. La première est celle du renversement ou du dépassement de la métaphysique spéculative voulus tant par Kant et Nietzsche que par Heidegger et Wittgenstein. Est exposé ensuite le procès politique intenté à Platon lors de la première guerre mondiale par Popper, Russel et Crossman.
Il en résulte un certain malaise dans l'interprétation, les commentateurs se trouvant pris entre le désir de présenter un Platon plus traitable et qui partagerait finalement les présupposés de ses adversaires, et celui de restituer à sa pensée toute sa force de provocation.
Il en résulte un certain malaise dans l'interprétation, les commentateurs se trouvant pris entre le désir de présenter un Platon plus traitable et qui partagerait finalement les présupposés de ses adversaires, et celui de restituer à sa pensée toute sa force de provocation.
Ce volume, qui s'attache aux différentes figures de l'antiplatonisme à l'époque moderne et contemporaine, s'organise selon trois perspectives. La première est celle du renversement ou du dépassement de la métaphysique spéculative voulus tant par Kant et Nietzsche que par Heidegger et Wittgenstein. Est exposé ensuite le procès politique intenté à Platon lors de la première guerre mondiale par Popper, Russel et Crossman.
Il en résulte un certain malaise dans l'interprétation, les commentateurs se trouvant pris entre le désir de présenter un Platon plus traitable et qui partagerait finalement les présupposés de ses adversaires, et celui de restituer à sa pensée toute sa force de provocation.
Il en résulte un certain malaise dans l'interprétation, les commentateurs se trouvant pris entre le désir de présenter un Platon plus traitable et qui partagerait finalement les présupposés de ses adversaires, et celui de restituer à sa pensée toute sa force de provocation.
