Contre le libelle de Calvin. Après la mort de Michel Servet
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- Poids0.41 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
- ISBN2-88182-329-7
- EAN9782881823299
- Date de parution01/06/1998
- ÉditeurEditions Zoé
Résumé
Contre le libelle de Calvin est certainement l'un des plus grands textes humanistes qu'on ait jamais écrits. Depuis longtemps inaccessible dans sa langue d'origine (le latin), il n'avait jamais été traduit en français. Ce livre, âgé de plusieurs siècles, est de la plus brûlante actualité. Son auteur l'écrivit sous le coup de la mort de Michel Servet. C'est un puissant manifeste en faveur de la tolérance et de la justice.
Avec une intelligence et une force rares, il défend la liberté et surtout la nécessité de penser. Sébastien Castellion, malgré l'hommage de Montaigne, de Pierre Bayle, de Voltaire, de Michelet, de Stefan Zweig, est resté presque totalement ignoré. Il serait peut-être le premier étonné de savoir que Stefan Zweig verrait un jour dans son œuvre " le J'accuse de son siècle ". Il serait tout surpris d'apprendre que, pour Michelet, " il posa pour tout l'avenir la grande loi de tolérance ".
Il serait le premier stupéfait de se voir lu et traduit à la fin du XXe siècle, lui qui ne parvint même pas à faire publier, de son vivant, le livre qu'on va découvrir. L'ouvrage est précédé d'une préface d'Etienne Barilier, son traducteur, qui fait revivre la figure de Sébastien Castellion (1515-1563) et en souligne toute la modernité.
Avec une intelligence et une force rares, il défend la liberté et surtout la nécessité de penser. Sébastien Castellion, malgré l'hommage de Montaigne, de Pierre Bayle, de Voltaire, de Michelet, de Stefan Zweig, est resté presque totalement ignoré. Il serait peut-être le premier étonné de savoir que Stefan Zweig verrait un jour dans son œuvre " le J'accuse de son siècle ". Il serait tout surpris d'apprendre que, pour Michelet, " il posa pour tout l'avenir la grande loi de tolérance ".
Il serait le premier stupéfait de se voir lu et traduit à la fin du XXe siècle, lui qui ne parvint même pas à faire publier, de son vivant, le livre qu'on va découvrir. L'ouvrage est précédé d'une préface d'Etienne Barilier, son traducteur, qui fait revivre la figure de Sébastien Castellion (1515-1563) et en souligne toute la modernité.
Contre le libelle de Calvin est certainement l'un des plus grands textes humanistes qu'on ait jamais écrits. Depuis longtemps inaccessible dans sa langue d'origine (le latin), il n'avait jamais été traduit en français. Ce livre, âgé de plusieurs siècles, est de la plus brûlante actualité. Son auteur l'écrivit sous le coup de la mort de Michel Servet. C'est un puissant manifeste en faveur de la tolérance et de la justice.
Avec une intelligence et une force rares, il défend la liberté et surtout la nécessité de penser. Sébastien Castellion, malgré l'hommage de Montaigne, de Pierre Bayle, de Voltaire, de Michelet, de Stefan Zweig, est resté presque totalement ignoré. Il serait peut-être le premier étonné de savoir que Stefan Zweig verrait un jour dans son œuvre " le J'accuse de son siècle ". Il serait tout surpris d'apprendre que, pour Michelet, " il posa pour tout l'avenir la grande loi de tolérance ".
Il serait le premier stupéfait de se voir lu et traduit à la fin du XXe siècle, lui qui ne parvint même pas à faire publier, de son vivant, le livre qu'on va découvrir. L'ouvrage est précédé d'une préface d'Etienne Barilier, son traducteur, qui fait revivre la figure de Sébastien Castellion (1515-1563) et en souligne toute la modernité.
Avec une intelligence et une force rares, il défend la liberté et surtout la nécessité de penser. Sébastien Castellion, malgré l'hommage de Montaigne, de Pierre Bayle, de Voltaire, de Michelet, de Stefan Zweig, est resté presque totalement ignoré. Il serait peut-être le premier étonné de savoir que Stefan Zweig verrait un jour dans son œuvre " le J'accuse de son siècle ". Il serait tout surpris d'apprendre que, pour Michelet, " il posa pour tout l'avenir la grande loi de tolérance ".
Il serait le premier stupéfait de se voir lu et traduit à la fin du XXe siècle, lui qui ne parvint même pas à faire publier, de son vivant, le livre qu'on va découvrir. L'ouvrage est précédé d'une préface d'Etienne Barilier, son traducteur, qui fait revivre la figure de Sébastien Castellion (1515-1563) et en souligne toute la modernité.