Contre l'inertie

Par : Plutarque

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  • Nombre de pages125
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions14,1 cm × 20,6 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-86959-382-1
  • EAN9782869593824
  • Date de parution06/07/1998
  • ÉditeurArléa

Résumé

L'homme est-il libre de bien faire ? En éthique, c'est la première question à poser, et si l'on répond par la négative la réflexion risque fort de s'arrêter là. Dans les traités ici réunis - Le Hasard, Le Destin, La Peur superstitieuse, " Vivons cachés " : un bon conseil ? et La Vertu éthique -, Plutarque donne l'assaut à cinq logiques de l'inertie. La première, celle du hasard, soutient que l'aléatoire décide de tout. A quoi bon échafauder des plans, faire des efforts ? La seconde, celle du destin, affirme qu'il n'y a pas de hasard et que ce qui arrive est prévu de toute éternité. A quoi bon méditer, s'échiner ? Pour la troisième, celle de la crainte superstitieuse, ce sont les interventions du surnaturel - dieux, esprits et démons - qui ballottent la vie humaine. A quoi bon anticiper, se démener ? La quatrième, celle du renoncement volontaire, ne croit ni au hasard, ni au destin, ni au surnaturel. L'homme est libre d'agir ou de ne rien faire. A quoi bon se torturer l'esprit ? Ne vaut-il pas mieux décider librement de rester passif, de vivre caché ? La cinquième, enfin, estime que le véritable obstacle àl a liberté de bien faire, c'est nous L'homme est ce qu'il est, et l'on ne changera jamais la nature humaine. Comme le hasard, le destin, les forces occultes ou le principe " Vivons cachés ", l'argument de la " nature humaine " est un prétexte: elle ne peut nous priver de la liberté de bien faire.
L'homme est-il libre de bien faire ? En éthique, c'est la première question à poser, et si l'on répond par la négative la réflexion risque fort de s'arrêter là. Dans les traités ici réunis - Le Hasard, Le Destin, La Peur superstitieuse, " Vivons cachés " : un bon conseil ? et La Vertu éthique -, Plutarque donne l'assaut à cinq logiques de l'inertie. La première, celle du hasard, soutient que l'aléatoire décide de tout. A quoi bon échafauder des plans, faire des efforts ? La seconde, celle du destin, affirme qu'il n'y a pas de hasard et que ce qui arrive est prévu de toute éternité. A quoi bon méditer, s'échiner ? Pour la troisième, celle de la crainte superstitieuse, ce sont les interventions du surnaturel - dieux, esprits et démons - qui ballottent la vie humaine. A quoi bon anticiper, se démener ? La quatrième, celle du renoncement volontaire, ne croit ni au hasard, ni au destin, ni au surnaturel. L'homme est libre d'agir ou de ne rien faire. A quoi bon se torturer l'esprit ? Ne vaut-il pas mieux décider librement de rester passif, de vivre caché ? La cinquième, enfin, estime que le véritable obstacle àl a liberté de bien faire, c'est nous L'homme est ce qu'il est, et l'on ne changera jamais la nature humaine. Comme le hasard, le destin, les forces occultes ou le principe " Vivons cachés ", l'argument de la " nature humaine " est un prétexte: elle ne peut nous priver de la liberté de bien faire.
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