Ludmila Oulitskaïa est née en 1943, dans l'Oural. Elle a grandi à Moscou et fait des études de biologie à l'université. Auteur de nombreuses pièces de théâtre et scénarios de films, depuis le début des années 1980, elle se consacre exclusivement à la littérature. Ses premiers récits ont paru à Moscou, dans des revues. Ses livres ont été traduits, en français, aux éditions Gallimard. Son roman "Sonietchka" a reçu le prix Médicis Etranger, en 1996. Elle a deux fils et vit actuellement à Moscou, avec son mari, le sculpteur Andreï Krassouline.
Confiture russe. Pièce en trois actes sans entracte
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.22 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-07-078335-9
- EAN9782070783359
- Date de parution15/02/2018
- CollectionLe manteau d'Arlequin
- ÉditeurGallimard
- TraducteurSophie Benech
Résumé
Une datcha, dans la campagne, à une heure de route de Moscou, en 2002. Bien que délabrée, elle est toujours habitée par les deux enfants de l'académicien Ivan Lépiokhine, Andreï Ivanovitch et Natalia Ivanovna. Le toit fuit, les portes brimbalent, le courant électrique devient intermittent et l'eau du robinet se tarit... Tandis qu'Andrei boit de la vodka à toute heure et que les trois filles de Natalia ne lèvent pas le petit doigt, cette dernière, traductrice de plusieurs langues, reste rivée à sa machine à écrire pour essayer de gagner quelques dollars, aussitôt dépensés en réparations.
Et il y a urgence : les inquiétantes vibrations d'un chantier secouent de plus en plus fréquemment la masure. Qualifiée par l'auteur de "post-tchékhovienne", cette pièce peut se lire comme une transposition dans la Russie des années 2000 des péripéties tragi-comiques des chefs-d'oeuvre La Cerisaie et Les Trois Soeurs. Avec un humour qui côtoie l'absurde et la grande tendresse pour les déboires de ses personnages qu'on lui connaît, Ludmila Oulitskaïa livre une réflexion sur la Russie "éternelle et immuable" qui rejoint en toute virtuosité celle de Tchekhov et son célèbre "rire à travers les larmes".
Et il y a urgence : les inquiétantes vibrations d'un chantier secouent de plus en plus fréquemment la masure. Qualifiée par l'auteur de "post-tchékhovienne", cette pièce peut se lire comme une transposition dans la Russie des années 2000 des péripéties tragi-comiques des chefs-d'oeuvre La Cerisaie et Les Trois Soeurs. Avec un humour qui côtoie l'absurde et la grande tendresse pour les déboires de ses personnages qu'on lui connaît, Ludmila Oulitskaïa livre une réflexion sur la Russie "éternelle et immuable" qui rejoint en toute virtuosité celle de Tchekhov et son célèbre "rire à travers les larmes".
Une datcha, dans la campagne, à une heure de route de Moscou, en 2002. Bien que délabrée, elle est toujours habitée par les deux enfants de l'académicien Ivan Lépiokhine, Andreï Ivanovitch et Natalia Ivanovna. Le toit fuit, les portes brimbalent, le courant électrique devient intermittent et l'eau du robinet se tarit... Tandis qu'Andrei boit de la vodka à toute heure et que les trois filles de Natalia ne lèvent pas le petit doigt, cette dernière, traductrice de plusieurs langues, reste rivée à sa machine à écrire pour essayer de gagner quelques dollars, aussitôt dépensés en réparations.
Et il y a urgence : les inquiétantes vibrations d'un chantier secouent de plus en plus fréquemment la masure. Qualifiée par l'auteur de "post-tchékhovienne", cette pièce peut se lire comme une transposition dans la Russie des années 2000 des péripéties tragi-comiques des chefs-d'oeuvre La Cerisaie et Les Trois Soeurs. Avec un humour qui côtoie l'absurde et la grande tendresse pour les déboires de ses personnages qu'on lui connaît, Ludmila Oulitskaïa livre une réflexion sur la Russie "éternelle et immuable" qui rejoint en toute virtuosité celle de Tchekhov et son célèbre "rire à travers les larmes".
Et il y a urgence : les inquiétantes vibrations d'un chantier secouent de plus en plus fréquemment la masure. Qualifiée par l'auteur de "post-tchékhovienne", cette pièce peut se lire comme une transposition dans la Russie des années 2000 des péripéties tragi-comiques des chefs-d'oeuvre La Cerisaie et Les Trois Soeurs. Avec un humour qui côtoie l'absurde et la grande tendresse pour les déboires de ses personnages qu'on lui connaît, Ludmila Oulitskaïa livre une réflexion sur la Russie "éternelle et immuable" qui rejoint en toute virtuosité celle de Tchekhov et son célèbre "rire à travers les larmes".