Commentaire Sur Isaie. Tome 3, Sections 14 A 20, Edition Bilingue Francais-Grec
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- Nombre de pages460
- PrésentationBroché
- Poids0.425 kg
- Dimensions12,6 cm × 19,6 cm × 2,7 cm
- ISBN2-204-02262-4
- EAN9782204022620
- Date de parution01/09/1984
- CollectionSources Chrétiennes
- ÉditeurCerf
Résumé
Evêque de Cyr (en Syrie) au Ve siècle, Théodoret a commenté presque tout l'Ancien Testament et passe pour l'un des plus grands exégètes antiochiens. Héritier de Théodore de Mopsueste et de Jean Chrysostome, mais aussi des Cappadociens et de la tradition alexandrine dominée par Origène, il réalise dans son interprétation de l'Ecriture une synthèse originale. Mais son activité d'exégète ne prend son véritable sens que si on la replace dans la lutte qui, d'Ephèse (431) à Chalcédoine (451), l'oppose à Cyrille et aux Alexandrins : dans le débat christologique qui divise le Ve siècle, l'Ecriture peut seule, à ses yeux, permettre de trancher.
Avec ce troisième volume (voir SC 276, 295), s'achève la publication d'un des commentaires les plus représentatifs de son exégèse. En restant fidèle à une interprétation littérale et historique, Théodoret met en évidence le caractère messianique de la prophétie d'Isaïe et le fondement scripturaire de la christologie qui reconnaît dans le Christ deux natures unies, mais distinctes.
Evêque de Cyr (en Syrie) au Ve siècle, Théodoret a commenté presque tout l'Ancien Testament et passe pour l'un des plus grands exégètes antiochiens. Héritier de Théodore de Mopsueste et de Jean Chrysostome, mais aussi des Cappadociens et de la tradition alexandrine dominée par Origène, il réalise dans son interprétation de l'Ecriture une synthèse originale. Mais son activité d'exégète ne prend son véritable sens que si on la replace dans la lutte qui, d'Ephèse (431) à Chalcédoine (451), l'oppose à Cyrille et aux Alexandrins : dans le débat christologique qui divise le Ve siècle, l'Ecriture peut seule, à ses yeux, permettre de trancher.
Avec ce troisième volume (voir SC 276, 295), s'achève la publication d'un des commentaires les plus représentatifs de son exégèse. En restant fidèle à une interprétation littérale et historique, Théodoret met en évidence le caractère messianique de la prophétie d'Isaïe et le fondement scripturaire de la christologie qui reconnaît dans le Christ deux natures unies, mais distinctes.