Comment peut-on ne pas être français ?

Par : Tugdual Kalvez

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-36312-119-6
  • EAN9782363121196
  • Date de parution16/03/2022
  • ÉditeurLE TEMPS

Résumé

En 1970, Morvan Lebesque publiait "Comment peut-on être Breton ? ". En écho à cette interrogation, cinquante ans plus tard, le philosophe breton Tugdual Kalvez pose finalement la même question, dans un registre différent, mais avec la même ironie : Comment peut-on ne pas être Français ? Ce faisant, il fait allusion aux discours des chantres et laudateurs de la République-une-etindivisible. Une unité contrainte, imposée, impliquant un carcan juridique et la force pour la maintenir.
Référence aussi à la prétention jacobine à l'universalité et à l'assimilation de la nationalité à la citoyenneté⦠L'inverse de l'idéal européen : l'unité dans la diversité. L'auteur invite, in fine, les Jacobins à dépasser leur conception étroite, antihumaniste de l'homme et de la société, et, par ailleurs, le peuple breton à agir collectivement avec vigueur pour atteindre le statut de liberté auquel il a droit.
En 1970, Morvan Lebesque publiait "Comment peut-on être Breton ? ". En écho à cette interrogation, cinquante ans plus tard, le philosophe breton Tugdual Kalvez pose finalement la même question, dans un registre différent, mais avec la même ironie : Comment peut-on ne pas être Français ? Ce faisant, il fait allusion aux discours des chantres et laudateurs de la République-une-etindivisible. Une unité contrainte, imposée, impliquant un carcan juridique et la force pour la maintenir.
Référence aussi à la prétention jacobine à l'universalité et à l'assimilation de la nationalité à la citoyenneté⦠L'inverse de l'idéal européen : l'unité dans la diversité. L'auteur invite, in fine, les Jacobins à dépasser leur conception étroite, antihumaniste de l'homme et de la société, et, par ailleurs, le peuple breton à agir collectivement avec vigueur pour atteindre le statut de liberté auquel il a droit.