Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
« Comment peut-on être sceptique ? ». Aux élèves de Didier Deleule réunis dans ce volume, la question a semblé emblématique de l’esprit philosophique...
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Livré chez vous entre le 10 octobre et le 24 octobre
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Résumé
« Comment peut-on être sceptique ? ». Aux élèves de Didier Deleule réunis dans ce volume, la question a semblé emblématique de l’esprit philosophique qui a animé le séminaire d’études doctorales qui les a formés à la recherche, car elle procède à la fois d’un étonnement proche du défi et d’une interrogation sur les conditions de possibilité d’une qualification de la recherche philosophique. C’est sur cette double strate que se tiennent les études ici rassemblées, qui traversent les parentés historiques les plus importantes du scepticisme comme les plus insoupçonnées, en même temps qu’elles déclinent les nombreux enjeux politiques de l’attitude sceptique. De Condillac à Bourdieu, de Kracauer à Henry James, le scepticisme, dans l’optique humienne, est l’instrument d’une formidable critique de l’époque actuelle. Scepticisme vivant et érudit, engagé dans toutes les directions où une enquête philosophique est possible, scepticisme critique et sans préjugé, ouvert sur tous les fronts où le réel nous sollicite, du libéralisme au féminisme, du nihilisme au théisme, de l’économie au doute existentiel, telle est la prodigalité de la philosophie de Didier Deleule, à partir du geste fondamental de la redécouverte de Hume. Celui qui a incarné, dans l’université française, la haute valeur d’un jugement s’exerçant à se mettre en défaut de toute certitude initiale a conduit ses étudiants à réinterroger l’oracle de Delphes comme la main invisible, le sens commun et la naturalisation de la morale, ou encore la prudence baroque, et la philosophie transcendantale. Un article inédit « Scepticisme et politique », ouvre le volume consacré à son auteur.