Comme un univers mort lointain et toujours lumineux diffuse une étrange clarté. Sa poésie oscille entre douceur et violence, accueille des visions troublantes, des présences obsessionnelles, fantomatiques : cygnes, louve, enfants, oiseaux... Et si Julie Tirard utilise le " je ", c'est avant tout pour mieux expérimenter l'éparpillement de soi et les altérités entêtantes - qu'elles soient minérales, végétales ou animales.
Le " je " se multiplie dans ces présences : un " je " résolument diffus mais qui laisse durablement une trace.
Comme un univers mort lointain et toujours lumineux diffuse une étrange clarté. Sa poésie oscille entre douceur et violence, accueille des visions troublantes, des présences obsessionnelles, fantomatiques : cygnes, louve, enfants, oiseaux... Et si Julie Tirard utilise le " je ", c'est avant tout pour mieux expérimenter l'éparpillement de soi et les altérités entêtantes - qu'elles soient minérales, végétales ou animales.
Le " je " se multiplie dans ces présences : un " je " résolument diffus mais qui laisse durablement une trace.