Cocteau et le cinéma. Désordres

Par : Philippe Azoury, Jean-Marc Lalanne

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  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • Poids0.63 kg
  • Dimensions19,5 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-86642-362-3
  • EAN9782866423629
  • Date de parution12/09/2003
  • ÉditeurCahiers du cinéma

Résumé

Le Poète, tout à son œuvre, a soudainement découvert un miroir. Celui-ci n'avait pas seulement reçu le pouvoir de refléter la réalité. Si on y posait la main, c'est bientôt tout le corps qui y passait, pour un voyage au territoire des ombres dont nul ne saurait revenir tout à fait indemne. En passant à travers le miroir, Cocteau a rencontré le cinéma, et ses images intérieures s'en sont trouvées modifiées. Le cinéma a rencontré Cocteau, et il n'a plus jamais été le même. Les rencontres, pour avoir lieu, ont toujours besoin d'un drôle d'endroit : ici, la glace sans tain d'un hôtel borgne, une fumerie d'Opium à Singapour, un château nommé Rochecambon ou une carrière de pierre des Baux-de-Provence. Mais au fait, de quoi est fait le cinéma de Cocteau ? d'expériences, d'amitiés, d'hibiscus incarnat, de magie tout autant que de fatigue, plus quelques concepts corvéables à merci comme l'Invisible ou la Beauté. Quelles en sont les productions visibles ? Le Sang d'un poète, La Belle et la Bête, LAigle à deux têtes, Parents et Enfants terribles, Orphée et son Testament... Qu'est-ce qui impressionne tant ses spectateurs aujourd'hui encore ? Son aisance unique à circuler dans le temps, une forme d'anachronisme très contemporaine. Où il ressortira que Cocteau n'est pas mort, et qu'il surgit en d'autres, ses enfants terribles : Godard, Demy,Truffaut, Garrel, Carax, Carpenter, Almodovar... Et sinon, pourquoi Désordres ? Ne nous demandez pas pourquoi.
Le Poète, tout à son œuvre, a soudainement découvert un miroir. Celui-ci n'avait pas seulement reçu le pouvoir de refléter la réalité. Si on y posait la main, c'est bientôt tout le corps qui y passait, pour un voyage au territoire des ombres dont nul ne saurait revenir tout à fait indemne. En passant à travers le miroir, Cocteau a rencontré le cinéma, et ses images intérieures s'en sont trouvées modifiées. Le cinéma a rencontré Cocteau, et il n'a plus jamais été le même. Les rencontres, pour avoir lieu, ont toujours besoin d'un drôle d'endroit : ici, la glace sans tain d'un hôtel borgne, une fumerie d'Opium à Singapour, un château nommé Rochecambon ou une carrière de pierre des Baux-de-Provence. Mais au fait, de quoi est fait le cinéma de Cocteau ? d'expériences, d'amitiés, d'hibiscus incarnat, de magie tout autant que de fatigue, plus quelques concepts corvéables à merci comme l'Invisible ou la Beauté. Quelles en sont les productions visibles ? Le Sang d'un poète, La Belle et la Bête, LAigle à deux têtes, Parents et Enfants terribles, Orphée et son Testament... Qu'est-ce qui impressionne tant ses spectateurs aujourd'hui encore ? Son aisance unique à circuler dans le temps, une forme d'anachronisme très contemporaine. Où il ressortira que Cocteau n'est pas mort, et qu'il surgit en d'autres, ses enfants terribles : Godard, Demy,Truffaut, Garrel, Carax, Carpenter, Almodovar... Et sinon, pourquoi Désordres ? Ne nous demandez pas pourquoi.
Thomas Mailaender
Thomas Mailaender, Philippe Azoury
Grand Format
20,90 €