Chroniques. Tome 18, Le Bal des Ardents (1391-1393)

Par : Jean Froissart
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  • Nombre de pages204
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,4 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-333-0020-5
  • EAN9791033300205
  • Date de parution26/10/2017
  • CollectionL'encyclopédie médiévale
  • ÉditeurPaléo
  • TraducteurNathalie Desgrugillers

Résumé

"A cet instant, le roi et ses cinq compagnons entrèrent dans la salle de bal, déguisés en hommes sauvages couverts de fibres de lin, délié comme une chevelure qui descendait jusqu'au pied. Ni homme ni femme n'aurait pu les reconnaître. Le roi se tenait seul devant, menant la danse, et derrière ses cinq compagnons, attachés les uns aux autres. Le roi, un peu devant, s'éloigna de ses compagnons - et ce fut heureux.
Poussé par la fantaisie de la jeunesse, il se dirigea vers les dames, pour mieux se montrer. Il passa devant la reine, puis se présenta devant la duchesse de Berry, qui était sa tante mais aussi la plus jeune dame. C'est à cet instant, que le drame commença. Le duc d'Orléans voulait absolument savoir qui étaient les cinq hommes qui dansaient ; il approcha une torche qu'un de ses serviteurs tenait devant lui et le feu prit dans les fibres de lin.
Vous savez que lorsque le lin se met à brûler, rien ne peut l'éteindre. Les flammes échauffèrent la poix grâce à laquelle on avait collé le lin au tissu du costume.
"A cet instant, le roi et ses cinq compagnons entrèrent dans la salle de bal, déguisés en hommes sauvages couverts de fibres de lin, délié comme une chevelure qui descendait jusqu'au pied. Ni homme ni femme n'aurait pu les reconnaître. Le roi se tenait seul devant, menant la danse, et derrière ses cinq compagnons, attachés les uns aux autres. Le roi, un peu devant, s'éloigna de ses compagnons - et ce fut heureux.
Poussé par la fantaisie de la jeunesse, il se dirigea vers les dames, pour mieux se montrer. Il passa devant la reine, puis se présenta devant la duchesse de Berry, qui était sa tante mais aussi la plus jeune dame. C'est à cet instant, que le drame commença. Le duc d'Orléans voulait absolument savoir qui étaient les cinq hommes qui dansaient ; il approcha une torche qu'un de ses serviteurs tenait devant lui et le feu prit dans les fibres de lin.
Vous savez que lorsque le lin se met à brûler, rien ne peut l'éteindre. Les flammes échauffèrent la poix grâce à laquelle on avait collé le lin au tissu du costume.
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