Prix Audiolib

Ce que nous confions au vent
Edition en gros caractères

Par : Laura Imai Messina
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  • Nombre de pages504
  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.632 kg
  • Dimensions15,6 cm × 24,0 cm × 3,5 cm
  • ISBN978-2-37828-342-1
  • EAN9782378283421
  • Date de parution02/09/2021
  • Collection20
  • ÉditeurVoir de près
  • TraducteurMarianne Faurobert

Résumé

"Sur les pentes du mont Kujira-yama, au milieu d'un immense jardin, se dresse une cabine téléphonique : le Téléphone du vent. Chaque année, des milliers de personnes décrochent le combiné pour confier au vent des messages pour leurs proches disparus. Yui, qui a perdu sa mère et sa fille, emportées par le tsunami de 2011, y rencontre Takeshi, qui élève seul sa petite fille. Ce magnifique roman, ode à la délicatesse des sentiments et à la force rédemptrice de l'amour, s'est inspiré d'un endroit réel.
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"Sur les pentes du mont Kujira-yama, au milieu d'un immense jardin, se dresse une cabine téléphonique : le Téléphone du vent. Chaque année, des milliers de personnes décrochent le combiné pour confier au vent des messages pour leurs proches disparus. Yui, qui a perdu sa mère et sa fille, emportées par le tsunami de 2011, y rencontre Takeshi, qui élève seul sa petite fille. Ce magnifique roman, ode à la délicatesse des sentiments et à la force rédemptrice de l'amour, s'est inspiré d'un endroit réel.
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Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Fascinant !
Audiolib : 5h01 – Lu par Clara Brajtman C’est par un reportage d’Arte que j’ai eu connaissance de ce Téléphone du vent, installé après le tsunami de 2011 et j’avais été fascinée par cette idée qui pouvait rendre moins abrupte la perte d’êtres ou du moins approcher en douceur l’acceptation ! La cabine est installée dans le jardin de Bel Gardia. Yui est animatrice d’une émission radiophonique sur le deuil où elle apprend l’existence de ce Téléphone. Elle s’y rend pour parler à sa mère et sa fille, disparues en 2011. Mais une fois sur place, les mots ne viennent pas, pas même le courage d’ouvrir la porte de la cabine. Elle observe donc les personnes qui viennent se confier à leur proches et fait la connaissance de Takeshi, veuf et père d’une petite fille qui ne parle plus depuis ces événements. Eloge de la lenteur et du temps qui se prend comme un cadeau, d’une façon propre à la culture japonaise, emprunte de respect ! Tous les détails comptent dans cette lecture où de courts chapitres listent et décrivent ce qui accompagne les événements. J’ai été envoutée par la voix de Clara Brajtman qui a fait naître les brumes et les fleurs du jardin, les doutes et les peurs de Yui, l’espoir de Takeshi et l’amitié des personnes rencontrées ! Tout était très présent, rendant flous et ouatés les contours du présent ! Ses intonations et modulations ont fait que chaque petite chose a pris la place qui lui revenait ! J’ai adoré l’écoute de ce roman délicat, tendre et apaisant ! #Cequenousconfionsauvent #NetGalleyFrance
Audiolib : 5h01 – Lu par Clara Brajtman C’est par un reportage d’Arte que j’ai eu connaissance de ce Téléphone du vent, installé après le tsunami de 2011 et j’avais été fascinée par cette idée qui pouvait rendre moins abrupte la perte d’êtres ou du moins approcher en douceur l’acceptation ! La cabine est installée dans le jardin de Bel Gardia. Yui est animatrice d’une émission radiophonique sur le deuil où elle apprend l’existence de ce Téléphone. Elle s’y rend pour parler à sa mère et sa fille, disparues en 2011. Mais une fois sur place, les mots ne viennent pas, pas même le courage d’ouvrir la porte de la cabine. Elle observe donc les personnes qui viennent se confier à leur proches et fait la connaissance de Takeshi, veuf et père d’une petite fille qui ne parle plus depuis ces événements. Eloge de la lenteur et du temps qui se prend comme un cadeau, d’une façon propre à la culture japonaise, emprunte de respect ! Tous les détails comptent dans cette lecture où de courts chapitres listent et décrivent ce qui accompagne les événements. J’ai été envoutée par la voix de Clara Brajtman qui a fait naître les brumes et les fleurs du jardin, les doutes et les peurs de Yui, l’espoir de Takeshi et l’amitié des personnes rencontrées ! Tout était très présent, rendant flous et ouatés les contours du présent ! Ses intonations et modulations ont fait que chaque petite chose a pris la place qui lui revenait ! J’ai adoré l’écoute de ce roman délicat, tendre et apaisant ! #Cequenousconfionsauvent #NetGalleyFrance
  • Deuil - Tendresse - Acceptation - Japon
Ce que nous confions au vent
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Laura Imai Messina
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