Jordi soler fait partie de la classe des écrivains qui savent si bien raconter les histoires qu’on a formidablement envie d’y croire.
Un jour, il frappe à votre porte, un sourire jusque là, et vous glisse dans l’oreille : Je suis parti chercher un trésor, un vieux truc aztèque, dans les pyrénées. Je suis revenu avec une histoire. Une grande. Une très grande. J’ai rencontré un type extraordinaire. Un fou, un brinquebalant, un génie dans un certain sens.
Federico de Grau Moctezuma. Descendant de la princesse aztèque Xipaguacin et d’un explorateur espagnol au sang dans
les veines aussi noble que celui des indiens qu’il a sur les mains.
Jordi Soler joue avec la réalité comme la fiction se joue de nous. Entre le Mexique et l’Espagne, au détour d’un festin donné en présence de Dali et Franco, au carrefour de l’histoire d’un empire déchu et d’une Espagne en fin de cycle, l’auteur nous emporte dans ce tourbillon frénétique qui peut faire de l’existence, de toute existence, une expérience de la démesure.
Federico est un personnage si haut en couleurs qu’il déploie en nous des envies de rire, des soifs d’aventures, des volonté de transgresser la réalité pour mieux la rencontrer. Federico est animé par le faste et le grandiloquent, par le souffle vital de la reconnaissance et du paraître.
Jubilatoire et rocambolesque, Ce prince que je fus a le parfum des odyssées délirantes, semées d’embûches, d’échecs et de succès.
Y mettre le nez revient à accepter un voyage pour lequel on a pris un billet mais dont on ignore la destination.
Qui est Federico ? Et pourquoi ?
Ce prince que je fus
Jordi soler fait partie de la classe des écrivains qui savent si bien raconter les histoires qu’on a formidablement envie d’y croire.
Un jour, il frappe à votre porte, un sourire jusque là, et vous glisse dans l’oreille : Je suis parti chercher un trésor, un vieux truc aztèque, dans les pyrénées. Je suis revenu avec une histoire. Une grande. Une très grande. J’ai rencontré un type extraordinaire. Un fou, un brinquebalant, un génie dans un certain sens.
Federico de Grau Moctezuma. Descendant de la princesse aztèque Xipaguacin et d’un explorateur espagnol au sang dans les veines aussi noble que celui des indiens qu’il a sur les mains.
Jordi Soler joue avec la réalité comme la fiction se joue de nous. Entre le Mexique et l’Espagne, au détour d’un festin donné en présence de Dali et Franco, au carrefour de l’histoire d’un empire déchu et d’une Espagne en fin de cycle, l’auteur nous emporte dans ce tourbillon frénétique qui peut faire de l’existence, de toute existence, une expérience de la démesure.
Federico est un personnage si haut en couleurs qu’il déploie en nous des envies de rire, des soifs d’aventures, des volonté de transgresser la réalité pour mieux la rencontrer. Federico est animé par le faste et le grandiloquent, par le souffle vital de la reconnaissance et du paraître.
Jubilatoire et rocambolesque, Ce prince que je fus a le parfum des odyssées délirantes, semées d’embûches, d’échecs et de succès.
Y mettre le nez revient à accepter un voyage pour lequel on a pris un billet mais dont on ignore la destination.
Qui est Federico ? Et pourquoi ?