Avec Nadine, son épouse, il avaient rêvé de cette maison. Ils y ont construit leur famille, commencé à élever leurs enfants. Lorsque Nadine décède, le chagrin lui impose ses questions.
Pourquoi eux ? Pourquoi les voisins, observés quotidiennement derrière les cannisses du jardin, continuent-ils à vivre heureux ?
Et si, il s'était tout simplement trompé de maison ? S'ils avaient acheté celle d'à côté, est-ce que le sort en aurait été différent ?
Dans ce court roman, 84 pages, Marcus Malte nous plonge dans le cœur brisé d'un homme. La perte de sa femme va l'affecter à un tel point qu'il va sombrer dans une douleur insurmontable.
Pour tenir debout, pour leurs deux enfants, il a besoin de trouver des réponses à ses "pourquoi" ?
C'est ce questionnement permanent qui va le faire sombrer, doucement, vers la folie
En écrivant à la première personne, Marcus Malte nous plonge directement dans la tête du narrateur. Celui-ci nous touche par sa tristesse et nous émeut par l'Amour qu'il voue à son épouse décédée.
C'est aussi parce que ce récit est écrit à la première personne que nous prenons conscience de l'horreur dans laquelle Marcus Malte nous entraîne doucement.
Un court roman très noir, mais parfaitement réussi.
Avec Nadine, son épouse, il avaient rêvé de cette maison. Ils y ont construit leur famille, commencé à élever leurs enfants. Lorsque Nadine décède, le chagrin lui impose ses questions.
Pourquoi eux ? Pourquoi les voisins, observés quotidiennement derrière les cannisses du jardin, continuent-ils à vivre heureux ?
Et si, il s'était tout simplement trompé de maison ? S'ils avaient acheté celle d'à côté, est-ce que le sort en aurait été différent ?
Dans ce court roman, 84 pages, Marcus Malte nous plonge dans le cœur brisé d'un homme. La perte de sa femme va l'affecter à un tel point qu'il va sombrer dans une douleur insurmontable.
Pour tenir debout, pour leurs deux enfants, il a besoin de trouver des réponses à ses "pourquoi" ?
C'est ce questionnement permanent qui va le faire sombrer, doucement, vers la folie
En écrivant à la première personne, Marcus Malte nous plonge directement dans la tête du narrateur. Celui-ci nous touche par sa tristesse et nous émeut par l'Amour qu'il voue à son épouse décédée.
C'est aussi parce que ce récit est écrit à la première personne que nous prenons conscience de l'horreur dans laquelle Marcus Malte nous entraîne doucement.
Un court roman très noir, mais parfaitement réussi.