Camera politica. Dialectique du réalisme dans le cinéma politique et militant (Groupes Medvedkine, Francesco Rosi, Peter Watkins)
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- Nombre de pages126
- PrésentationBroché
- Poids0.115 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-7116-2218-4
- EAN9782711622184
- Date de parution15/09/2009
- CollectionPhilosophie et cinéma
- ÉditeurVrin
Résumé
Une forme cinématographique du politique conforme à ce dont elle prétend traiter finit par entrer en contradiction avec elle même et se supprimer comme autonome, trouvant sa vérité dans son autre. Accomplissant l'esprit de la "distanciation" brechtienne, le film sabote la police qui le gouvernait, et le spectateur ne peut plus fuir, se retrancher dans le noir de la salle du cinéma ou la berçante illusion de la séparation.
La politisation du film est totale: les contradictions sortent du film pour être du monde et c'est au spectateur seul qu'il incombe maintenant de décider si, oui ou non, il va se faire révolutionnaire.
La politisation du film est totale: les contradictions sortent du film pour être du monde et c'est au spectateur seul qu'il incombe maintenant de décider si, oui ou non, il va se faire révolutionnaire.
Une forme cinématographique du politique conforme à ce dont elle prétend traiter finit par entrer en contradiction avec elle même et se supprimer comme autonome, trouvant sa vérité dans son autre. Accomplissant l'esprit de la "distanciation" brechtienne, le film sabote la police qui le gouvernait, et le spectateur ne peut plus fuir, se retrancher dans le noir de la salle du cinéma ou la berçante illusion de la séparation.
La politisation du film est totale: les contradictions sortent du film pour être du monde et c'est au spectateur seul qu'il incombe maintenant de décider si, oui ou non, il va se faire révolutionnaire.
La politisation du film est totale: les contradictions sortent du film pour être du monde et c'est au spectateur seul qu'il incombe maintenant de décider si, oui ou non, il va se faire révolutionnaire.