Bukowski ou les Contes de la Violence Ordinaire

Par : Alexandre Thiltges

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  • Nombre de pages336
  • PrésentationBroché
  • Poids0.46 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-296-01646-0
  • EAN9782296016460
  • Date de parution28/02/2007
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Figure mythique de la contre-culture américaine, Charles Bukowski (1920-1994) a tendance à agacer la critique. Ecrivain de bas étage pour les uns, génie mal compris pour les autres, le défunt poète, nouvelliste et romancier, continue à vendre plus d'un million d'ouvrages par an et à faire sa place de manière désinvolte au sein du canon littéraire. Sorte de Gainsbourg des Lettres américaines, celui qui s'était auto-sacralisé le " vieux dégueulasse " se fait un malin plaisir à provoquer et haranguer ses lecteurs : " La bonne littérature est presque toujours dérangeante ", écrit-il pour se justifier.
Après avoir fait une descente dans les profondeurs de l'univers bukowskien, le lecteur s'apercevra que cette œuvre, faite de contrastes, paradoxes et ambivalences, est bien plus nuancée, torturée et complexe qu'elle ne paraissait l'être à la première approche. En effet, derrière le masque du boxeur abîmé et aviné se cache une sensibilité à fleur de peau qui révèle une âme en quête de sincérité et de pureté.
Comme c'est le cas pour toute œuvre qui marque l'histoire de la littérature, le texte bukowskien est empreint d'une violence dérangeante et souvent difficile à supporter. Violence qui fonctionne de pair avec la folie : folie et violence ordinaires, certes, et qui ne sont pas sans rappeler une certaine psychopathologie de la vie quotidienne.
Figure mythique de la contre-culture américaine, Charles Bukowski (1920-1994) a tendance à agacer la critique. Ecrivain de bas étage pour les uns, génie mal compris pour les autres, le défunt poète, nouvelliste et romancier, continue à vendre plus d'un million d'ouvrages par an et à faire sa place de manière désinvolte au sein du canon littéraire. Sorte de Gainsbourg des Lettres américaines, celui qui s'était auto-sacralisé le " vieux dégueulasse " se fait un malin plaisir à provoquer et haranguer ses lecteurs : " La bonne littérature est presque toujours dérangeante ", écrit-il pour se justifier.
Après avoir fait une descente dans les profondeurs de l'univers bukowskien, le lecteur s'apercevra que cette œuvre, faite de contrastes, paradoxes et ambivalences, est bien plus nuancée, torturée et complexe qu'elle ne paraissait l'être à la première approche. En effet, derrière le masque du boxeur abîmé et aviné se cache une sensibilité à fleur de peau qui révèle une âme en quête de sincérité et de pureté.
Comme c'est le cas pour toute œuvre qui marque l'histoire de la littérature, le texte bukowskien est empreint d'une violence dérangeante et souvent difficile à supporter. Violence qui fonctionne de pair avec la folie : folie et violence ordinaires, certes, et qui ne sont pas sans rappeler une certaine psychopathologie de la vie quotidienne.
Sur les nerfs
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