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  • Nombre de pages353
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.48 kg
  • Dimensions14,2 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-258-15271-7
  • EAN9782258152717
  • Date de parution09/05/2019
  • ÉditeurPresses de la Cité
  • TraducteurMarina Heide

Résumé

Après le succès d' Une histoire des abeilles , le retour de la romancière norvégienne qui fait rimer littérature et écologie. Norvège, 2017. Depuis son plus jeune âge, Signe a fait passer l'écologie avant tout. Ainsi a-t-elle préféré renoncer à Magnus, dont elle ne partageait pas les idées. Aujourd'hui, elle vit sur un bateau amarré dans un fjord, au plus près de l'eau. Et c'est pour sauver l'eau qu'elle décide à soixante-sept ans d'entreprendre un dernier périple en mer, lorsqu'elle apprend qu'une opération commerciale, autorisée jadis par Magnus, menace son glacier natal.
L'heure est venue pour Signe d'affronter son grand amour perdu. Pour cela, elle doit prendre la direction du sud de la France... France, 2041. La guerre de l'eau bat son plein. Avec Lou, sa fille aînée, David a fui les Pyrénées ravagées par la sécheresse pour retrouver sa femme et leur bébé, dont il a été séparé. Mais les réfugiés climatiques sont bloqués à la frontière, et les ressources commencent à manquer.
Un jour, à des kilomètres de la côte, David et Lou trouvent un voilier au beau milieu d'un champ desséché : le bateau de Signe... Une intrigue sophistiquée et palpitante, au service d'une fable dystopique plus nécessaire que jamais.
Après le succès d' Une histoire des abeilles , le retour de la romancière norvégienne qui fait rimer littérature et écologie. Norvège, 2017. Depuis son plus jeune âge, Signe a fait passer l'écologie avant tout. Ainsi a-t-elle préféré renoncer à Magnus, dont elle ne partageait pas les idées. Aujourd'hui, elle vit sur un bateau amarré dans un fjord, au plus près de l'eau. Et c'est pour sauver l'eau qu'elle décide à soixante-sept ans d'entreprendre un dernier périple en mer, lorsqu'elle apprend qu'une opération commerciale, autorisée jadis par Magnus, menace son glacier natal.
L'heure est venue pour Signe d'affronter son grand amour perdu. Pour cela, elle doit prendre la direction du sud de la France... France, 2041. La guerre de l'eau bat son plein. Avec Lou, sa fille aînée, David a fui les Pyrénées ravagées par la sécheresse pour retrouver sa femme et leur bébé, dont il a été séparé. Mais les réfugiés climatiques sont bloqués à la frontière, et les ressources commencent à manquer.
Un jour, à des kilomètres de la côte, David et Lou trouvent un voilier au beau milieu d'un champ desséché : le bateau de Signe... Une intrigue sophistiquée et palpitante, au service d'une fable dystopique plus nécessaire que jamais.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Une dystopie écologiste réaliste et bien construite, mais pas inoubliable
La Norvégienne Signe vit sur son bateau. Militante écologique aujourd’hui septuagénaire, elle a consacré toute sa vie à lutter, sans grand succès, pour la défense de la planète. Lorsque le glacier qui surplombe son village natal, déjà bien rétréci par le réchauffement climatique, est condamné à une disparition accélérée en raison de son exploitation industrielle, elle choisit aussitôt la confrontation avec l’entrepreneur responsable, établi dans le sud de la France, et qui n’est autre que son amour de jeunesse. Près de vingt-cinq ans plus tard, en 2041, les prévisions les plus alarmistes sont devenues réalité : les déserts ont gagné du terrain, les populations des pays du sud meurent de soif et tentent de migrer en masse vers les « pays de l’eau », qui ont fermé leurs frontières. Ainsi, David et sa petite fille Lou, chassés d’Argelès par des incendies meurtriers, sans nouvelles du restant de leur famille, ont trouvé provisoirement asile dans un camp de réfugiés, où tout ne tarde pas à manquer. A faible distance du camp, le père et la fille tombent par hasard sur le bateau de Signe, échoué à l’intérieur des terres après l’assèchement du Canal du Midi. Cette fable dystopique met en scène un sujet d’actualité : l’indifférence des uns, l’impuissance des autres, face aux bouleversements climatiques liés à l’activité humaine. Elle nous confronte directement aux conséquences dramatiques de notre absence de réaction, mettant en scène le manque d’eau croissant dans certaines régions, les déplacements subséquents de populations, et les conflits internationaux en résultant. L’histoire relatée ne manque pas d’un certain réalisme. Il faut saluer les efforts de documentation de l’auteur grâce auxquels le récit ne verse jamais dans le ridicule ni l’approximation, qu’il s’agisse d’évoquer la pratique de la voile et l’expérience de la mer, ou encore une usine de désalinisation. L’intrigue est elle-même bien ficelée, et même si les grands contours de l’issue se dessinent assez facilement avant la fin, certains détails du dénouement ont néanmoins réussi à me surprendre. Pourtant, ces qualités n’ont pas suffit a m’épargner l’ennui, progressivement mais inexorablement apparu au fil de l’alternance des deux récits entrecroisés : la faute au manque d’épaisseur des personnages, à la platitude de leurs dialogues, et à l’absence de style de l’écriture, qui empêchent le roman de réellement décoller et de sortir du lot. Manque également à mon sens davantage de présence de la nature elle-même, sur un thème qui appelait quelques jolis passages contemplatifs. Au final, Bleue est un roman sans prétention et empreint de bonnes intentions, pour un gentil moment de détente qui ne laissera pas de souvenir impérissable.
La Norvégienne Signe vit sur son bateau. Militante écologique aujourd’hui septuagénaire, elle a consacré toute sa vie à lutter, sans grand succès, pour la défense de la planète. Lorsque le glacier qui surplombe son village natal, déjà bien rétréci par le réchauffement climatique, est condamné à une disparition accélérée en raison de son exploitation industrielle, elle choisit aussitôt la confrontation avec l’entrepreneur responsable, établi dans le sud de la France, et qui n’est autre que son amour de jeunesse. Près de vingt-cinq ans plus tard, en 2041, les prévisions les plus alarmistes sont devenues réalité : les déserts ont gagné du terrain, les populations des pays du sud meurent de soif et tentent de migrer en masse vers les « pays de l’eau », qui ont fermé leurs frontières. Ainsi, David et sa petite fille Lou, chassés d’Argelès par des incendies meurtriers, sans nouvelles du restant de leur famille, ont trouvé provisoirement asile dans un camp de réfugiés, où tout ne tarde pas à manquer. A faible distance du camp, le père et la fille tombent par hasard sur le bateau de Signe, échoué à l’intérieur des terres après l’assèchement du Canal du Midi. Cette fable dystopique met en scène un sujet d’actualité : l’indifférence des uns, l’impuissance des autres, face aux bouleversements climatiques liés à l’activité humaine. Elle nous confronte directement aux conséquences dramatiques de notre absence de réaction, mettant en scène le manque d’eau croissant dans certaines régions, les déplacements subséquents de populations, et les conflits internationaux en résultant. L’histoire relatée ne manque pas d’un certain réalisme. Il faut saluer les efforts de documentation de l’auteur grâce auxquels le récit ne verse jamais dans le ridicule ni l’approximation, qu’il s’agisse d’évoquer la pratique de la voile et l’expérience de la mer, ou encore une usine de désalinisation. L’intrigue est elle-même bien ficelée, et même si les grands contours de l’issue se dessinent assez facilement avant la fin, certains détails du dénouement ont néanmoins réussi à me surprendre. Pourtant, ces qualités n’ont pas suffit a m’épargner l’ennui, progressivement mais inexorablement apparu au fil de l’alternance des deux récits entrecroisés : la faute au manque d’épaisseur des personnages, à la platitude de leurs dialogues, et à l’absence de style de l’écriture, qui empêchent le roman de réellement décoller et de sortir du lot. Manque également à mon sens davantage de présence de la nature elle-même, sur un thème qui appelait quelques jolis passages contemplatifs. Au final, Bleue est un roman sans prétention et empreint de bonnes intentions, pour un gentil moment de détente qui ne laissera pas de souvenir impérissable.
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