D'un côté, il y a Tancrède, dit Tank, gérant d'une maison funéraire secondé par son frère, Tino, peut-être un peu simplet... ou du moins, toujours silencieux.
De l'autre, il y a Colin, neuf ans, qui recherche sa mère et qui se dit que s'il y a bien une personne qui est susceptible de l'avoir vu passer, c'est Tank... Oui, c'est glauque mais il n'a pas d'autre idée, Colin !
Alors, quand Tank comprend qu'il y a un vrai problème dans sa ville et qu'il commence à ramasser un peu trop régulièrement des jeunes femmes qui pourraient correspondre à la description de la mère de Colin, il fait appel à son vieil ami détective privé, Ray.
Ce qu'ils ne s'imaginent pas, ces deux-là, c'est que ce qu'ils vont découvrir n'aura pas que des bonnes odeurs de lessive...
Avec Blanchissage Express, Michaël Fenris reprend tous les codes des romans de détective des années 60.
L'enquête est rythmée, servie par des chapitres courts qui alternent entre les points de vue de Tank et de Ray... ces deux-là se renvoyant régulièrement la balle pour comprendre ce qui se trame derrière les murs de la famille Eichner, magna de la ville.
Les personnages ont tous de fortes personnalités et réussissent à ne pas faire pencher ce roman d'action dans le cliché... même si des agents du FBI restent des agents du FBI :-)
Très vite, le lecteur a envie de découvrir ce qu'il est arrivé à la mère de Colin et surtout tous les petits secrets, même les plus sales, de ce Los Angeles des années 60.
Et pourtant, ce n'est pas très glorieux.
Un très bon roman, aux accents de nostalgie d'une époque où ni l'ADN ni internet et les téléphones portables ne permettaient de résoudre une énigme en trois secondes...
D'autant que Michaël Fenris démontre parfaitement qu'il n'est pas nécessaire d'avoir recours à toutes ces nouvelles technologiques pour qu'une enquête se déroule sur les chapeaux de roue.
Un roman, sur fond de jazz... qui sent la poudre, le whisky et la cigarette... à l'ancienne... tellement agréable à déguster !
https://cecibondelire.canalblog.com/2025/05/blanchissage-express-de-michael-fenris.html
D'un côté, il y a Tancrède, dit Tank, gérant d'une maison funéraire secondé par son frère, Tino, peut-être un peu simplet... ou du moins, toujours silencieux.
De l'autre, il y a Colin, neuf ans, qui recherche sa mère et qui se dit que s'il y a bien une personne qui est susceptible de l'avoir vu passer, c'est Tank... Oui, c'est glauque mais il n'a pas d'autre idée, Colin !
Alors, quand Tank comprend qu'il y a un vrai problème dans sa ville et qu'il commence à ramasser un peu trop régulièrement des jeunes femmes qui pourraient correspondre à la description de la mère de Colin, il fait appel à son vieil ami détective privé, Ray.
Ce qu'ils ne s'imaginent pas, ces deux-là, c'est que ce qu'ils vont découvrir n'aura pas que des bonnes odeurs de lessive...
Avec Blanchissage Express, Michaël Fenris reprend tous les codes des romans de détective des années 60.
L'enquête est rythmée, servie par des chapitres courts qui alternent entre les points de vue de Tank et de Ray... ces deux-là se renvoyant régulièrement la balle pour comprendre ce qui se trame derrière les murs de la famille Eichner, magna de la ville.
Les personnages ont tous de fortes personnalités et réussissent à ne pas faire pencher ce roman d'action dans le cliché... même si des agents du FBI restent des agents du FBI :-)
Très vite, le lecteur a envie de découvrir ce qu'il est arrivé à la mère de Colin et surtout tous les petits secrets, même les plus sales, de ce Los Angeles des années 60.
Et pourtant, ce n'est pas très glorieux.
Un très bon roman, aux accents de nostalgie d'une époque où ni l'ADN ni internet et les téléphones portables ne permettaient de résoudre une énigme en trois secondes...
D'autant que Michaël Fenris démontre parfaitement qu'il n'est pas nécessaire d'avoir recours à toutes ces nouvelles technologiques pour qu'une enquête se déroule sur les chapeaux de roue.
Un roman, sur fond de jazz... qui sent la poudre, le whisky et la cigarette... à l'ancienne... tellement agréable à déguster !
https://cecibondelire.canalblog.com/2025/05/blanchissage-express-de-michael-fenris.html