Bertrand Lavier
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- Nombre de pages64
- PrésentationBroché
- Poids0.315 kg
- Dimensions16,7 cm × 20,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-88-366-2192-7
- EAN9788836621927
- Date de parution25/01/2012
- ÉditeurSilvana Editoriale
Résumé
L'exposition de Bertrand Lavier propose une installation
inédite. Composition en quatre couleurs, détail. 225 m2 de
moquette. Un dessin et quatre couleurs, jaune, bleu, noir,
orange. Un motif familier. Difficile à identifier lorsqu'on
déambule autour de la pièce. La moquette est posée à 40 cm
du sol, sur un socle, et notre vision en est parcellaire,
affleurante. Bertrand Lavier poursuit son travail de
"déviation".
Recadrer un motif, transformer sa matière, en modifier les couleurs : le terrain de basket devient un tableau abstrait monumental, ou bien une sculpture plate, un objet non identifié dans tous les cas, qui s'élève ainsi à la catégorie de l'oeuvre d'art. Son oeuvre se consacre chaque fois à introduire un dysfonctionnement dans notre perception de la réalité : des objets ready-made sont recouverts de peinture ou empilés, sont retournés, à l'envers.
Le regardeur doute de ce qui lui est offert à contempler. Quel mécanisme du regard doit-il déclencher : contemplation esthétique ? Regard auto-réflexif sur les caractéristiques de l'oeuvre d'art ? Pensée critique sur l'art contemporain, sur l'art conceptuel, sur les ready-made ? Regard amusé sur le jeu des catégories et sur l'impact de l'image, de l'objet de consommation, sur le loisir et la culture ? Peu importe finalement, l'oeuvre de Bertrand Lavier déclenche une multitude de pistes, toutes à explorer, elle constitue un stimulus à la pensée et au regard.
Recadrer un motif, transformer sa matière, en modifier les couleurs : le terrain de basket devient un tableau abstrait monumental, ou bien une sculpture plate, un objet non identifié dans tous les cas, qui s'élève ainsi à la catégorie de l'oeuvre d'art. Son oeuvre se consacre chaque fois à introduire un dysfonctionnement dans notre perception de la réalité : des objets ready-made sont recouverts de peinture ou empilés, sont retournés, à l'envers.
Le regardeur doute de ce qui lui est offert à contempler. Quel mécanisme du regard doit-il déclencher : contemplation esthétique ? Regard auto-réflexif sur les caractéristiques de l'oeuvre d'art ? Pensée critique sur l'art contemporain, sur l'art conceptuel, sur les ready-made ? Regard amusé sur le jeu des catégories et sur l'impact de l'image, de l'objet de consommation, sur le loisir et la culture ? Peu importe finalement, l'oeuvre de Bertrand Lavier déclenche une multitude de pistes, toutes à explorer, elle constitue un stimulus à la pensée et au regard.
L'exposition de Bertrand Lavier propose une installation
inédite. Composition en quatre couleurs, détail. 225 m2 de
moquette. Un dessin et quatre couleurs, jaune, bleu, noir,
orange. Un motif familier. Difficile à identifier lorsqu'on
déambule autour de la pièce. La moquette est posée à 40 cm
du sol, sur un socle, et notre vision en est parcellaire,
affleurante. Bertrand Lavier poursuit son travail de
"déviation".
Recadrer un motif, transformer sa matière, en modifier les couleurs : le terrain de basket devient un tableau abstrait monumental, ou bien une sculpture plate, un objet non identifié dans tous les cas, qui s'élève ainsi à la catégorie de l'oeuvre d'art. Son oeuvre se consacre chaque fois à introduire un dysfonctionnement dans notre perception de la réalité : des objets ready-made sont recouverts de peinture ou empilés, sont retournés, à l'envers.
Le regardeur doute de ce qui lui est offert à contempler. Quel mécanisme du regard doit-il déclencher : contemplation esthétique ? Regard auto-réflexif sur les caractéristiques de l'oeuvre d'art ? Pensée critique sur l'art contemporain, sur l'art conceptuel, sur les ready-made ? Regard amusé sur le jeu des catégories et sur l'impact de l'image, de l'objet de consommation, sur le loisir et la culture ? Peu importe finalement, l'oeuvre de Bertrand Lavier déclenche une multitude de pistes, toutes à explorer, elle constitue un stimulus à la pensée et au regard.
Recadrer un motif, transformer sa matière, en modifier les couleurs : le terrain de basket devient un tableau abstrait monumental, ou bien une sculpture plate, un objet non identifié dans tous les cas, qui s'élève ainsi à la catégorie de l'oeuvre d'art. Son oeuvre se consacre chaque fois à introduire un dysfonctionnement dans notre perception de la réalité : des objets ready-made sont recouverts de peinture ou empilés, sont retournés, à l'envers.
Le regardeur doute de ce qui lui est offert à contempler. Quel mécanisme du regard doit-il déclencher : contemplation esthétique ? Regard auto-réflexif sur les caractéristiques de l'oeuvre d'art ? Pensée critique sur l'art contemporain, sur l'art conceptuel, sur les ready-made ? Regard amusé sur le jeu des catégories et sur l'impact de l'image, de l'objet de consommation, sur le loisir et la culture ? Peu importe finalement, l'oeuvre de Bertrand Lavier déclenche une multitude de pistes, toutes à explorer, elle constitue un stimulus à la pensée et au regard.