Durant ces quelques trois-cents pages votre univers va se résumer à l’obscurité et à la noirceur, à l’humidité et au travail harassant de la mine.
A Bearmouth, on n’est pas là pour rigoler.
Ni pour penser.
Les matons sont partout, prêts à sévir à la moindre occasion.
Suivez le destin prenant, bouleversant de Crapouille et de ses camarades de peine, qui ont atterri dans ce quotidien lugubre bien malgré eux.
Y-aura-t’il une lumière au bout du tunnel ?
J’ai été saisie par ce roman âpre, magnifique, écrit à la première personne dans un style brut, à l’écriture phonétique délibérée, nous transportant au plus près de ces personnages privés d’enfance, d’éducation, vivant dans la misère dans la peur, et dans la superstition.
Bearmouth est une histoire intemporelle, mais pourrait cependant être classée dans les dystopies, ou même dans les romans historiques du XIX ème siècle, aux temps les plus sombres de l’exploitation infantile dans l’enfer de la mine.
Terrible, prenant, touchant.
Durant ces quelques trois-cents pages votre univers va se résumer à l’obscurité et à la noirceur, à l’humidité et au travail harassant de la mine.
A Bearmouth, on n’est pas là pour rigoler.
Ni pour penser.
Les matons sont partout, prêts à sévir à la moindre occasion.
Suivez le destin prenant, bouleversant de Crapouille et de ses camarades de peine, qui ont atterri dans ce quotidien lugubre bien malgré eux.
Y-aura-t’il une lumière au bout du tunnel ?
J’ai été saisie par ce roman âpre, magnifique, écrit à la première personne dans un style brut, à l’écriture phonétique délibérée, nous transportant au plus près de ces personnages privés d’enfance, d’éducation, vivant dans la misère dans la peur, et dans la superstition.
Bearmouth est une histoire intemporelle, mais pourrait cependant être classée dans les dystopies, ou même dans les romans historiques du XIX ème siècle, aux temps les plus sombres de l’exploitation infantile dans l’enfer de la mine.
Terrible, prenant, touchant.