Barthélemy Boganda, premier défenseur des droits humains en Oubangui-Chari. Volume 1 (1946-1953)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages424
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.655 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-343-21321-7
- EAN9782343213217
- Date de parution04/03/2021
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJean-Dominique Pénel
Résumé
Barthélemy Boganda pourrait être considéré comme le Martin Luther King Junior de l'Afrique, au moins en ce qui concerne la partie francophone noire. En effet, le combat que Martin Luther King Junior mena pour l'égalité raciale, la liberté, la fierté, la défense des droits humains, la défense du droit de vote, la déségrégation..., fut le même que celui du leader oubanguien un peu plus tôt. Les deux n'avaient que pour seules armes, la force d'âme, le courage, la détermination et surtout la non-violence même si la tentation était grande.
Boganda aurait parcouru tout l'Oubangui-Chari, de l'est à l'ouest et du nord au sud. Les rapports administratifs le signalant dans la Ouaka, la Basse-Kotto, le M'Bomou, la Vakaga, l'Ouham, l'Ouham-Pendé, la Nana Mambéré, la Nana-Gribingui, la Haute-Sangha et la Lobaye l'attestaient. D'ailleurs, l'épave de la voiture qui l'avait lâché dans la Vakaga, se trouverait encore à Am-Dafok à la frontière avec le Soudan du Nord, soit à plus de 1 500 km de Bangui.
Boganda aurait parcouru tout l'Oubangui-Chari, de l'est à l'ouest et du nord au sud. Les rapports administratifs le signalant dans la Ouaka, la Basse-Kotto, le M'Bomou, la Vakaga, l'Ouham, l'Ouham-Pendé, la Nana Mambéré, la Nana-Gribingui, la Haute-Sangha et la Lobaye l'attestaient. D'ailleurs, l'épave de la voiture qui l'avait lâché dans la Vakaga, se trouverait encore à Am-Dafok à la frontière avec le Soudan du Nord, soit à plus de 1 500 km de Bangui.
Barthélemy Boganda pourrait être considéré comme le Martin Luther King Junior de l'Afrique, au moins en ce qui concerne la partie francophone noire. En effet, le combat que Martin Luther King Junior mena pour l'égalité raciale, la liberté, la fierté, la défense des droits humains, la défense du droit de vote, la déségrégation..., fut le même que celui du leader oubanguien un peu plus tôt. Les deux n'avaient que pour seules armes, la force d'âme, le courage, la détermination et surtout la non-violence même si la tentation était grande.
Boganda aurait parcouru tout l'Oubangui-Chari, de l'est à l'ouest et du nord au sud. Les rapports administratifs le signalant dans la Ouaka, la Basse-Kotto, le M'Bomou, la Vakaga, l'Ouham, l'Ouham-Pendé, la Nana Mambéré, la Nana-Gribingui, la Haute-Sangha et la Lobaye l'attestaient. D'ailleurs, l'épave de la voiture qui l'avait lâché dans la Vakaga, se trouverait encore à Am-Dafok à la frontière avec le Soudan du Nord, soit à plus de 1 500 km de Bangui.
Boganda aurait parcouru tout l'Oubangui-Chari, de l'est à l'ouest et du nord au sud. Les rapports administratifs le signalant dans la Ouaka, la Basse-Kotto, le M'Bomou, la Vakaga, l'Ouham, l'Ouham-Pendé, la Nana Mambéré, la Nana-Gribingui, la Haute-Sangha et la Lobaye l'attestaient. D'ailleurs, l'épave de la voiture qui l'avait lâché dans la Vakaga, se trouverait encore à Am-Dafok à la frontière avec le Soudan du Nord, soit à plus de 1 500 km de Bangui.