Autonomie, autonomies. René Rémond et la politique universitaire en France aux lendemains de Mai 68
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- Nombre de pages283
- PrésentationBroché
- Poids0.466 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-85944-884-4
- EAN9782859448844
- Date de parution08/01/2015
- CollectionHistoire de la France XIXe-XXe
- ÉditeurPublications de la Sorbonne
Résumé
A partir de sources très diversifiées et rigoureusement exploitées, ce livre analyse la politique universitaire mise en oeuvre aux lendemains de 68 sous Charles de Gaulle, Georges Pompidou et Valéry Giscard d’Estaing. Pour comprendre cette période, où l’autonomie devient le maître-mot des discours sur l’enseignement supérieur, l’auteur a pris pour fil directeur l’action de l’historien René Rémond.
Proche des élites gouvernementales et président de l’université Paris X-Nanterre entre 1971 et 1976, il se situe alors au coeur du processus de réforme. Avec empathie mais sans parti pris, l’auteur explore les modalités selon lesquels son «héros», en interaction, et parfois en compétition, avec les entourages ministériels, cherche à agir dans le jeu complexe de la politique de l’enseignement supérieur.
Ce faisant, il éclaire d’une manière concrète et saisissante la combinatoire d’influences, de relations individuelles et de contingences qui détermine l’action publique. Il permet aussi de saisir un aspect central, bien qu’occulté, du rayonnement d’un grand universitaire français, souvent réduit à La Droite en France, ou à ses commentaires avisés de la vie politique et électorale. Cette étude fouillée et enlevée est essentielle pour qui souhaite comprendre les enjeux et les débats actuels sur l’Université.
Elle constitue une contribution de premier plan non seulement à l’histoire et à la sociologie de l’enseignement supérieur, mais aussi à la connaissance des prises de décision sous la Cinquième république ainsi qu’à l’histoire de la vie intellectuelle française.
Proche des élites gouvernementales et président de l’université Paris X-Nanterre entre 1971 et 1976, il se situe alors au coeur du processus de réforme. Avec empathie mais sans parti pris, l’auteur explore les modalités selon lesquels son «héros», en interaction, et parfois en compétition, avec les entourages ministériels, cherche à agir dans le jeu complexe de la politique de l’enseignement supérieur.
Ce faisant, il éclaire d’une manière concrète et saisissante la combinatoire d’influences, de relations individuelles et de contingences qui détermine l’action publique. Il permet aussi de saisir un aspect central, bien qu’occulté, du rayonnement d’un grand universitaire français, souvent réduit à La Droite en France, ou à ses commentaires avisés de la vie politique et électorale. Cette étude fouillée et enlevée est essentielle pour qui souhaite comprendre les enjeux et les débats actuels sur l’Université.
Elle constitue une contribution de premier plan non seulement à l’histoire et à la sociologie de l’enseignement supérieur, mais aussi à la connaissance des prises de décision sous la Cinquième république ainsi qu’à l’histoire de la vie intellectuelle française.
A partir de sources très diversifiées et rigoureusement exploitées, ce livre analyse la politique universitaire mise en oeuvre aux lendemains de 68 sous Charles de Gaulle, Georges Pompidou et Valéry Giscard d’Estaing. Pour comprendre cette période, où l’autonomie devient le maître-mot des discours sur l’enseignement supérieur, l’auteur a pris pour fil directeur l’action de l’historien René Rémond.
Proche des élites gouvernementales et président de l’université Paris X-Nanterre entre 1971 et 1976, il se situe alors au coeur du processus de réforme. Avec empathie mais sans parti pris, l’auteur explore les modalités selon lesquels son «héros», en interaction, et parfois en compétition, avec les entourages ministériels, cherche à agir dans le jeu complexe de la politique de l’enseignement supérieur.
Ce faisant, il éclaire d’une manière concrète et saisissante la combinatoire d’influences, de relations individuelles et de contingences qui détermine l’action publique. Il permet aussi de saisir un aspect central, bien qu’occulté, du rayonnement d’un grand universitaire français, souvent réduit à La Droite en France, ou à ses commentaires avisés de la vie politique et électorale. Cette étude fouillée et enlevée est essentielle pour qui souhaite comprendre les enjeux et les débats actuels sur l’Université.
Elle constitue une contribution de premier plan non seulement à l’histoire et à la sociologie de l’enseignement supérieur, mais aussi à la connaissance des prises de décision sous la Cinquième république ainsi qu’à l’histoire de la vie intellectuelle française.
Proche des élites gouvernementales et président de l’université Paris X-Nanterre entre 1971 et 1976, il se situe alors au coeur du processus de réforme. Avec empathie mais sans parti pris, l’auteur explore les modalités selon lesquels son «héros», en interaction, et parfois en compétition, avec les entourages ministériels, cherche à agir dans le jeu complexe de la politique de l’enseignement supérieur.
Ce faisant, il éclaire d’une manière concrète et saisissante la combinatoire d’influences, de relations individuelles et de contingences qui détermine l’action publique. Il permet aussi de saisir un aspect central, bien qu’occulté, du rayonnement d’un grand universitaire français, souvent réduit à La Droite en France, ou à ses commentaires avisés de la vie politique et électorale. Cette étude fouillée et enlevée est essentielle pour qui souhaite comprendre les enjeux et les débats actuels sur l’Université.
Elle constitue une contribution de premier plan non seulement à l’histoire et à la sociologie de l’enseignement supérieur, mais aussi à la connaissance des prises de décision sous la Cinquième république ainsi qu’à l’histoire de la vie intellectuelle française.