Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Baius et Jansénius sont-ils des augustiniens excessifs ou des augustiniens fourvoyés ? La théologie moderne les a considérés comme fourvoyés. Depuis...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Baius et Jansénius sont-ils des augustiniens excessifs ou des augustiniens fourvoyés ? La théologie moderne les a considérés comme fourvoyés. Depuis le XVIe jusqu'au XXe siècle, elle a pensé un nouveau type de relation de l'homme à Dieu, opposant une fin naturelle et une fin surnaturelle. Ce qu'il avait exposé dans une première partie de Surnaturel, le P. de Lubac le développe ici. Il affine sa compréhension de Baius et Jansénius. Il montre les raisons philosophiques, d'opposer deux fins et ces raisons viennent d'Avicenne, philosophe iranien du XIe siècle et d'Averroès, philosophe arabe du XIIe siècle, dont la pensée domina l'enseignement padouan au XVe et XVIe siècles. Saint Thomas les avait combattus " de la manière la plus efficace en continuant Saint Augustin et en christianisant Aristote ". Henri de Lubac explique mieux la rupture entre philosophie et théologie, provoquée par cette opposition de deux fins, pensée par les théologiens. " Les philosophies séparées, devenues elles-mêmes des théologies sécularisées, doivent beaucoup à la théologie séparée. "