Au vif de la peinture, à l'ombre des mots

Par : Gérard Titus-Carmel

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  • Nombre de pages735
  • PrésentationBroché
  • Poids1.106 kg
  • Dimensions16,0 cm × 20,0 cm × 4,5 cm
  • ISBN979-10-92444-44-5
  • EAN9791092444445
  • Date de parution23/08/2016
  • ÉditeurL'Atelier Contemporain
  • PréfacierRoland Recht

Résumé

Les écrits de GERARD TITUS-CARMEL ici réunis s'étendent sur 45 années durant lesquelles il s'est simultanément livré à une intense activité de peintre et de graveur. Sans doute ne pense-t-il pas à l'écriture lorsqu'il peint, mais ses écrits, eux, témoignent d'un objectif constant : comprendre, non pas dans l'expérience quotidienne du geste mais à l'aide des mots que ce geste suscite, de quoi la peinture et la gravure sont faites.
Revenir chaque jour devant la "hautaine inaccessibilité de la peinture", pour tenter néanmoins de l'interroger, et chercher aussi à saisir ce qui, en elle, ne satisfait pas absolument. Dans l'acte de peinture, une part de la chose qui sert de modèle, se dérobe, d'où naîtrait le désir de la saisir avec d'autres moyens. Mais ces moyens eux-mêmes qui sont les mots de la langue, ouvrent a leur tour sur de nouveaux mondes, lesquels demandent, exigent impérativement que l'auteur s'y attarde.
Et il est clair, en lisant Gérard Titus-Carmel, qu'il y a chez lui une jouissance de l'écrit aussi intense et aussi vitale que celle qui accompagne son travail de peintre. Ces textes témoignent d'une activité théorique : ils sont le produit d'une réflexion à partir d'oeuvres du passé ou de notre temps, mais aussi à partir de sa pratique artistique propre. Ces écrits font en quelque sorte retour sur sa pratique de la peinture.
Et c'est aussi toute l'histoire de la peinture qui se trouve sollicitée. Les textes qu'on va lire ont été écrits dans ce lieu singulier où s'entrecroisent les oeuvres d'Edvard Munch, de Bram van Velde, de Matthias Grünewald, de Picasso, de Chardin, de Jean-Pierre Pincemin, parmi bien d'autres, et de Gérard Titus-Carmel. En plus de l'érudition sans faille dont témoignent les essais sur L'Indolente d'Orsay, ou sur La Raie de Chardin et le Portrait de Richelieu de Philippe de Champaigne, il procède à une sorte de déconstruction progressive du tableau.
Le peintre Gérard Titus-Carmel s'intéresse autant à ce que le tableau donne à voir, qu'à ce qu'il recouvre. Il n'y a plus que les mots pour remémorer tout ce oui est à présent rendu invisible.
Les écrits de GERARD TITUS-CARMEL ici réunis s'étendent sur 45 années durant lesquelles il s'est simultanément livré à une intense activité de peintre et de graveur. Sans doute ne pense-t-il pas à l'écriture lorsqu'il peint, mais ses écrits, eux, témoignent d'un objectif constant : comprendre, non pas dans l'expérience quotidienne du geste mais à l'aide des mots que ce geste suscite, de quoi la peinture et la gravure sont faites.
Revenir chaque jour devant la "hautaine inaccessibilité de la peinture", pour tenter néanmoins de l'interroger, et chercher aussi à saisir ce qui, en elle, ne satisfait pas absolument. Dans l'acte de peinture, une part de la chose qui sert de modèle, se dérobe, d'où naîtrait le désir de la saisir avec d'autres moyens. Mais ces moyens eux-mêmes qui sont les mots de la langue, ouvrent a leur tour sur de nouveaux mondes, lesquels demandent, exigent impérativement que l'auteur s'y attarde.
Et il est clair, en lisant Gérard Titus-Carmel, qu'il y a chez lui une jouissance de l'écrit aussi intense et aussi vitale que celle qui accompagne son travail de peintre. Ces textes témoignent d'une activité théorique : ils sont le produit d'une réflexion à partir d'oeuvres du passé ou de notre temps, mais aussi à partir de sa pratique artistique propre. Ces écrits font en quelque sorte retour sur sa pratique de la peinture.
Et c'est aussi toute l'histoire de la peinture qui se trouve sollicitée. Les textes qu'on va lire ont été écrits dans ce lieu singulier où s'entrecroisent les oeuvres d'Edvard Munch, de Bram van Velde, de Matthias Grünewald, de Picasso, de Chardin, de Jean-Pierre Pincemin, parmi bien d'autres, et de Gérard Titus-Carmel. En plus de l'érudition sans faille dont témoignent les essais sur L'Indolente d'Orsay, ou sur La Raie de Chardin et le Portrait de Richelieu de Philippe de Champaigne, il procède à une sorte de déconstruction progressive du tableau.
Le peintre Gérard Titus-Carmel s'intéresse autant à ce que le tableau donne à voir, qu'à ce qu'il recouvre. Il n'y a plus que les mots pour remémorer tout ce oui est à présent rendu invisible.
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