Au secours ! Ma femme s'est envolée !

Par : André L'Héritier

Formats :

Disponible d'occasion :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages251
  • PrésentationBroché
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN979-10-96394-00-5
  • EAN9791096394005
  • Date de parution16/11/2016
  • ÉditeurVictor Le Brun

Résumé

Comme tant d'autres à la campagne, Édouard, paysan quadragénaire, se retrouve sans femme, sa Berthe venant de s'envoler. Quelle misère ! Un superbe domaine, un joli troupeau de Salers, mais pas même un petit bout de femme à mettre dans son lit, le soir, pour se réchauffer. Une de perdue, dix de retrouvées. Tu parles ! Ces sacrées femelles ne se bousculent pas au portillon quand il s'agit de passer leur existence dans le fumier, loin des lumières de la ville. Comment va se débrouiller le malheureux pour dénicher l'âme soeur, alors qu'il vit dans une ferme isolée, dressée au sein des monts du Cézallier, entourée de toutes parts d'immenses pâturages se perdant dans des lointains brumeux ? S'il n'y avait pas la lancinante petite musique de l'eau s'écoulant indéfiniment d'une fontaine dans un vaste abreuvoir de pierre noire, ce serait le grand silence ; un silence brisé seulement, de temps à autre, par le meuglement d'une vache, l'aboiement d'un chien, parfois le bruit d'un tracteur. Eh oui, hélas, tout pour rebuter une dame, absolument rien pour la séduire. Pauvre Édouard !
Comme tant d'autres à la campagne, Édouard, paysan quadragénaire, se retrouve sans femme, sa Berthe venant de s'envoler. Quelle misère ! Un superbe domaine, un joli troupeau de Salers, mais pas même un petit bout de femme à mettre dans son lit, le soir, pour se réchauffer. Une de perdue, dix de retrouvées. Tu parles ! Ces sacrées femelles ne se bousculent pas au portillon quand il s'agit de passer leur existence dans le fumier, loin des lumières de la ville. Comment va se débrouiller le malheureux pour dénicher l'âme soeur, alors qu'il vit dans une ferme isolée, dressée au sein des monts du Cézallier, entourée de toutes parts d'immenses pâturages se perdant dans des lointains brumeux ? S'il n'y avait pas la lancinante petite musique de l'eau s'écoulant indéfiniment d'une fontaine dans un vaste abreuvoir de pierre noire, ce serait le grand silence ; un silence brisé seulement, de temps à autre, par le meuglement d'une vache, l'aboiement d'un chien, parfois le bruit d'un tracteur. Eh oui, hélas, tout pour rebuter une dame, absolument rien pour la séduire. Pauvre Édouard !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

1/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
A éviter !!!
Mauvais, insipide, lourd et surtout inutile !!!
Mauvais, insipide, lourd et surtout inutile !!!