Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" L'analyste ne s'autorise que de lui-même ", tel fut le verdict de Lacan sur la très délicate question de l'autorisation. Scandale et incompréhension...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
" L'analyste ne s'autorise que de lui-même ", tel fut le verdict de Lacan sur la très délicate question de l'autorisation. Scandale et incompréhension garantis. Pourtant, dans cet écart grammatical discret entre " analyste " et " lui-même ", gît peut-être la source inépuisable du transfert, mis ainsi en relation, par la seule vertu de cette notion d'" autorisation ", avec la détermination centrale de la personne fictive chez Hobbes. D'où l'idée d'aller enquêter sur la troisième personne, aussi bien au niveau de la constitution de l'Etat moderne, que dans l'" irréductible ambiguïté " (Lacan dixit) du transfert. Car entre le " il " de " il a dit " et le " il " de " il pleut ", aux frontières de la persécution et du destin, psychanalyse et pouvoir d'Etat développent des stratégies incompatibles, qui les rendent sourds l'un à l'autre. Pourquoi ?
Sommaire
La duplicité de l'analyste
La fausse surprise freudienne
Le développement du transfert
Les deux temps du sujet-supposé-savoir
Où est le problème ? La duplicité du souverain
Une fiction juridique curieuse : les deux corps du Roi