Pour son Contrepoint contemporain au musée de l'Orangerie. Amélie Bertrand a installé dans le pronaos juste avant les "Nymphéas" de Claude Monet, sa propre série de paysages. Ces oeuvres, peintes en pensant au mettre impressionniste, traduisent, elles aussi, une variété d'humeurs, de saisons et de qualités de lumière. Alors que près d'un siècle sépare leurs pratiques respectives, les deux artistes sont confrontés au mémo défi pictural fondamental : comment capturer le paysage de manière à ce que nous, spectateurs, comprenions non seulement à quoi ressemble un lieu, mais aussi - et surtout- ce que l'on ressent en s'y trouvant.
Pour son Contrepoint contemporain au musée de l'Orangerie. Amélie Bertrand a installé dans le pronaos juste avant les "Nymphéas" de Claude Monet, sa propre série de paysages. Ces oeuvres, peintes en pensant au mettre impressionniste, traduisent, elles aussi, une variété d'humeurs, de saisons et de qualités de lumière. Alors que près d'un siècle sépare leurs pratiques respectives, les deux artistes sont confrontés au mémo défi pictural fondamental : comment capturer le paysage de manière à ce que nous, spectateurs, comprenions non seulement à quoi ressemble un lieu, mais aussi - et surtout- ce que l'on ressent en s'y trouvant.