Amadis de Gaule. De Johann Christian Bach, Philippe Quinault et Saint-Alphonse
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- Nombre de pages333
- PrésentationBroché
- Poids0.56 kg
- Dimensions21,7 cm × 16,6 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-8047-0083-6
- EAN9782804700836
- Date de parution08/12/2011
- CollectionRegards sur la musique
- ÉditeurMardaga
Résumé
Comme les précédents titres de la collection Regards sur la musique consacrés à l'opéra français des XVIIe et XVIIe siècles, ce volume dédié à l'Amadis de Gaule de Johann Christian Bach s'articule autour de l'édition du livret et de son commentaire "drammatico-musical". Autour de cet ensemble, des historiens, historiens de la musique, de la littérature, de la danse, des décors... proposent des "regards" croisés sur cette unique et si étonnante tragédie-lyrique du Bach de Londres, l'un des plus éminents compositeurs de la fin du XVIIIe siècle.
L'oeuvre s'appuie sur le beau livret (considérablement modifié par Devismes de Saint-Alphonse) que Quinault avait écrit pour Lully un siècle auparavant. Elle fut créée à l'Opéra de Paris en 1779 dans une période où le public parisien se déchirait entre Gluckistes et Piccinistes. Les textes proposés ici éclairent d'une manière nouvelle la figure du compositeur, dans son rapport avec la France, dans la réception de cette oeuvre singulière par le public français.
Ils tentent d'analyser les raisons de la résurgence en 1779 du mythe d'Amadis dans la littérature, le besoin qu'avaient les Modernes de s'appuyer sur les anciens livrets de Quinault et la manière dont ils le firent.
L'oeuvre s'appuie sur le beau livret (considérablement modifié par Devismes de Saint-Alphonse) que Quinault avait écrit pour Lully un siècle auparavant. Elle fut créée à l'Opéra de Paris en 1779 dans une période où le public parisien se déchirait entre Gluckistes et Piccinistes. Les textes proposés ici éclairent d'une manière nouvelle la figure du compositeur, dans son rapport avec la France, dans la réception de cette oeuvre singulière par le public français.
Ils tentent d'analyser les raisons de la résurgence en 1779 du mythe d'Amadis dans la littérature, le besoin qu'avaient les Modernes de s'appuyer sur les anciens livrets de Quinault et la manière dont ils le firent.
Comme les précédents titres de la collection Regards sur la musique consacrés à l'opéra français des XVIIe et XVIIe siècles, ce volume dédié à l'Amadis de Gaule de Johann Christian Bach s'articule autour de l'édition du livret et de son commentaire "drammatico-musical". Autour de cet ensemble, des historiens, historiens de la musique, de la littérature, de la danse, des décors... proposent des "regards" croisés sur cette unique et si étonnante tragédie-lyrique du Bach de Londres, l'un des plus éminents compositeurs de la fin du XVIIIe siècle.
L'oeuvre s'appuie sur le beau livret (considérablement modifié par Devismes de Saint-Alphonse) que Quinault avait écrit pour Lully un siècle auparavant. Elle fut créée à l'Opéra de Paris en 1779 dans une période où le public parisien se déchirait entre Gluckistes et Piccinistes. Les textes proposés ici éclairent d'une manière nouvelle la figure du compositeur, dans son rapport avec la France, dans la réception de cette oeuvre singulière par le public français.
Ils tentent d'analyser les raisons de la résurgence en 1779 du mythe d'Amadis dans la littérature, le besoin qu'avaient les Modernes de s'appuyer sur les anciens livrets de Quinault et la manière dont ils le firent.
L'oeuvre s'appuie sur le beau livret (considérablement modifié par Devismes de Saint-Alphonse) que Quinault avait écrit pour Lully un siècle auparavant. Elle fut créée à l'Opéra de Paris en 1779 dans une période où le public parisien se déchirait entre Gluckistes et Piccinistes. Les textes proposés ici éclairent d'une manière nouvelle la figure du compositeur, dans son rapport avec la France, dans la réception de cette oeuvre singulière par le public français.
Ils tentent d'analyser les raisons de la résurgence en 1779 du mythe d'Amadis dans la littérature, le besoin qu'avaient les Modernes de s'appuyer sur les anciens livrets de Quinault et la manière dont ils le firent.