Alfred Machin.. De la jungle à l'écran

Par : Francis Lacassin

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  • Nombre de pages223
  • PrésentationBroché
  • Poids1.025 kg
  • Dimensions21,1 cm × 27,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-910027-71-6
  • EAN9782910027711
  • Date de parution18/07/2001
  • ÉditeurDreamland Editeur

Résumé

Alfred Machin (1877-1929), un nom banal pour une personnalité extraordinaire. Dès 1907, il tourne les Premiers films de brousse en Afrique pour la maison Pathé ; juste au moment où les fauves se ruent sur la caméra, son assistant les abat d'un coup de fusil. Il en ramène un bébé léopard qui jusqu'en 1914 sera la vedette des films comiques et tragiques de la maison Pathé. Celle-ci l'envoie en 1911 fonder le cinéma en Hollande, puis en Belgique dans ces pays où il n'existe encore ni studio ni production locale. En 1914, il sort un film de science-fiction avec avions, dirigeables : Maudite soit la guerre... deux mois avant la guerre. Mobilisé, il est l'un des quatre opérateurs qui fondent le Service Cinématographique des Armées. On lui doit entre autres les images de la bataille de Verdun... Revenu à la vie civile, il rachète à Pathé le studio de Nice où il installe un véritable zoo : singes, panthères, aigle, ours, avec lesquels il tourne une parodie des films l'Atlantide et Les Mystères de New York entièrement interprétés par des animaux. Pour tourner Bêtes... comme les hommes, il a construit de ses propres mains un village miniature, un train (locomotive, wagons...) conduits par un chien, attaqué et pillé par des singes. Le chimpanzé Auguste, très doué sera la vedette des grands drames réalistes, L'Enigme du mont Agel, Le Cœur des gueux, Le Manoir de la peur. Quelques deux cents documents et le témoignage de ses collaborateurs rassemblés par Francis Lacassin font d'Alfred Machin, de la jungle à l'écran un livre surprenant, qui permet de découvrir un grand pionnier de l'histoire du cinéma français, hollandais et belge.
Alfred Machin (1877-1929), un nom banal pour une personnalité extraordinaire. Dès 1907, il tourne les Premiers films de brousse en Afrique pour la maison Pathé ; juste au moment où les fauves se ruent sur la caméra, son assistant les abat d'un coup de fusil. Il en ramène un bébé léopard qui jusqu'en 1914 sera la vedette des films comiques et tragiques de la maison Pathé. Celle-ci l'envoie en 1911 fonder le cinéma en Hollande, puis en Belgique dans ces pays où il n'existe encore ni studio ni production locale. En 1914, il sort un film de science-fiction avec avions, dirigeables : Maudite soit la guerre... deux mois avant la guerre. Mobilisé, il est l'un des quatre opérateurs qui fondent le Service Cinématographique des Armées. On lui doit entre autres les images de la bataille de Verdun... Revenu à la vie civile, il rachète à Pathé le studio de Nice où il installe un véritable zoo : singes, panthères, aigle, ours, avec lesquels il tourne une parodie des films l'Atlantide et Les Mystères de New York entièrement interprétés par des animaux. Pour tourner Bêtes... comme les hommes, il a construit de ses propres mains un village miniature, un train (locomotive, wagons...) conduits par un chien, attaqué et pillé par des singes. Le chimpanzé Auguste, très doué sera la vedette des grands drames réalistes, L'Enigme du mont Agel, Le Cœur des gueux, Le Manoir de la peur. Quelques deux cents documents et le témoignage de ses collaborateurs rassemblés par Francis Lacassin font d'Alfred Machin, de la jungle à l'écran un livre surprenant, qui permet de découvrir un grand pionnier de l'histoire du cinéma français, hollandais et belge.
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