Adolphe Muzito - la RDC en marche

Par : Jean Mpisi

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 3 décembre
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 7 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Poids0.32 kg
  • ISBN978-2-296-54610-3
  • EAN9782296546103
  • Date de parution31/03/2011
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Adolphe Muzito est, depuis le 10 octobre 2008, Premier ministre et chef du gouvernement de la République du Congo (RDC). Il a succédé à ce poste au plus célèbre des nationalistes lumumbistes, Antoine Gizenga, dont il fut le ministre du Budget depuis le 5 février 2007. Le "patriarche" s'était particulièrement attelé à la refondation politique de l'Etat congolais, détruit pendant quatre dernières décennies.
Son dauphin et successeur, lui, continue l'oeuvre, notamment sue le plan économique. Car l'économie, elle aussi et surtout elle, fut également saccagée sous le régime dictatorial antérieur. Riche dans son sous-sol et dans son sol, le Congo est depuis longtemps, devenu un pays pauvre, un "désert économique", selon le mot saisissant du nouveau chef du gouvernement. On ne peut espérer (re)bâtir un "paradis social" congolais qu'en (re)construisant les piliers d'un développement économique.
C'est la tâche primordiale de Muzito. Une tâche exaltante, mais lourde et difficile. Déjà, avec lui, on perçoit une lueur d'espoir. Les chiffres le disent, qui indiquent l'évolution heureuse du cadre macroéconomique. Le Congo avait besoin d'un homme comme Adolphe Muzito : un économiste compétent, maîtrisant ses dossiers, un homme sérieux et discret aussi.
Adolphe Muzito est, depuis le 10 octobre 2008, Premier ministre et chef du gouvernement de la République du Congo (RDC). Il a succédé à ce poste au plus célèbre des nationalistes lumumbistes, Antoine Gizenga, dont il fut le ministre du Budget depuis le 5 février 2007. Le "patriarche" s'était particulièrement attelé à la refondation politique de l'Etat congolais, détruit pendant quatre dernières décennies.
Son dauphin et successeur, lui, continue l'oeuvre, notamment sue le plan économique. Car l'économie, elle aussi et surtout elle, fut également saccagée sous le régime dictatorial antérieur. Riche dans son sous-sol et dans son sol, le Congo est depuis longtemps, devenu un pays pauvre, un "désert économique", selon le mot saisissant du nouveau chef du gouvernement. On ne peut espérer (re)bâtir un "paradis social" congolais qu'en (re)construisant les piliers d'un développement économique.
C'est la tâche primordiale de Muzito. Une tâche exaltante, mais lourde et difficile. Déjà, avec lui, on perçoit une lueur d'espoir. Les chiffres le disent, qui indiquent l'évolution heureuse du cadre macroéconomique. Le Congo avait besoin d'un homme comme Adolphe Muzito : un économiste compétent, maîtrisant ses dossiers, un homme sérieux et discret aussi.