"Des origines au XXe siècle, déclarait Martin Barré, l'art nous apparaît de plus en plus sur un plan unique, c'est-à-dire que tout nous semble contemporain. Le temps où les artistes affirmaient que le passé sentais le moisi et que les musées ne ressemblaient qu'à des cimetières semble heureusement révolu." Partageant ce sentiment concernant un plan unique où tout serait mis à disposition pour devenir contemporain, l'auteure inscrit sa pratique de plasticienne et son regard critique, en signalant certaines convergences d'une époque, parfois très éloignée, vers la nôtre, contemporaine.
Elle ressent que se maintient une ligne ininterrompue dans les recherches artistiques et plastiques, de sorte que tous les artistes dépendant absolument les uns des autres ne posséderaient, véritablement, rien en propre.
"Des origines au XXe siècle, déclarait Martin Barré, l'art nous apparaît de plus en plus sur un plan unique, c'est-à-dire que tout nous semble contemporain. Le temps où les artistes affirmaient que le passé sentais le moisi et que les musées ne ressemblaient qu'à des cimetières semble heureusement révolu." Partageant ce sentiment concernant un plan unique où tout serait mis à disposition pour devenir contemporain, l'auteure inscrit sa pratique de plasticienne et son regard critique, en signalant certaines convergences d'une époque, parfois très éloignée, vers la nôtre, contemporaine.
Elle ressent que se maintient une ligne ininterrompue dans les recherches artistiques et plastiques, de sorte que tous les artistes dépendant absolument les uns des autres ne posséderaient, véritablement, rien en propre.