À paraître

A qui la faute ?. L'impossible (mais nécessaire) réforme de l'orthographe

Par : Bernard Cerquiglini

Formats :

Précommande en ligne
Votre colis est préparé et expédié le jour de la sortie de cet article, hors dimanches et jours fériés, dans la limite des stocks disponibles.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.001 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-07-309877-1
  • EAN9782073098771
  • Date de parution21/08/2025
  • CollectionFolio. Essais
  • ÉditeurFolio

Résumé

Force est de se rendre à l'évidence : la réforme de l'orthographe de 1990, dont Bernard Cerquiglini fut l'un des maîtres d'oeuvre, n'a pas rencontré le succès escompté. Pourquoi d'ailleurs aurait-elle réussi là où toutes les autres ont échoué ? Car elles furent nombreuses, les tentatives de remédier à "l'absurdité de notre orthographe, qui est en vérité une des fabrications les plus cocasses du monde" (Paul Valéry).
Pédagogues, grammairiens, linguistes et écrivains, de Ronsard à Queneau, de Louis Meigret à Ferdinand Brunot, tous se sont heurtés au mieux à des réticences, au pire à une levée de boucliers. A qui la faute ? Bernard Cerquiglini rouvre l'enquête et part à la recherche des coupables, ces opposants à la simplification orthographique. Ah ! Si seulement nous étions tous adeptes du "phonocentrisme", nous pourrions écrire les mots comme nous les prononçons.
Mais précisément : et si notre langue ne se prêtait pas à un tel idéal de graphie ? Ne vaudrait-il pas mieux réformer les réformateurs ? Retour sur un crime dont les complices ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit...
Force est de se rendre à l'évidence : la réforme de l'orthographe de 1990, dont Bernard Cerquiglini fut l'un des maîtres d'oeuvre, n'a pas rencontré le succès escompté. Pourquoi d'ailleurs aurait-elle réussi là où toutes les autres ont échoué ? Car elles furent nombreuses, les tentatives de remédier à "l'absurdité de notre orthographe, qui est en vérité une des fabrications les plus cocasses du monde" (Paul Valéry).
Pédagogues, grammairiens, linguistes et écrivains, de Ronsard à Queneau, de Louis Meigret à Ferdinand Brunot, tous se sont heurtés au mieux à des réticences, au pire à une levée de boucliers. A qui la faute ? Bernard Cerquiglini rouvre l'enquête et part à la recherche des coupables, ces opposants à la simplification orthographique. Ah ! Si seulement nous étions tous adeptes du "phonocentrisme", nous pourrions écrire les mots comme nous les prononçons.
Mais précisément : et si notre langue ne se prêtait pas à un tel idéal de graphie ? Ne vaudrait-il pas mieux réformer les réformateurs ? Retour sur un crime dont les complices ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit...
Les mots immigrés
5/5
Erik Orsenna, Bernard Cerquiglini
Poche
7,40 €
Les Mots immigrés
5/5
Erik Orsenna, Bernard Cerquiglini
E-book
12,99 €
Un participe qui ne passe pas
Bernard Cerquiglini
E-book
5,49 €
Les mots immigrés
5/5
Erik Orsenna, Bernard Cerquiglini
Grand Format
17,50 €
Un participe qui ne passe pas
Bernard Cerquiglini
E-book
5,49 €
Parlez-vous tronqué ?
Bernard Cerquiglini
E-book
10,99 €