A qui la faute ?. L'impossible (mais nécessaire) réforme de l'orthographe
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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN978-2-07-309880-1
- EAN9782073098801
- Date de parution21/08/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille901 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Gallimard
Résumé
Force est de se rendre à l'évidence : la réforme de l'orthographe de 1990, dont Bernard Cerquiglini fut l'un des maîtres d'ouvre, n'a pas rencontré le succès escompté. Pourquoi d'ailleurs aurait-elle réussi là où toutes les autres ont échoué ?
Car elles furent nombreuses, les tentatives de remédier à ' l'absurdité de notre orthographe, qui est en vérité une des fabrications les plus cocasses du monde ' (Paul Valéry).
Pédagogues, grammairiens, linguistes et écrivains, de Ronsard à Queneau, de Louis Meigret à Ferdinand Brunot, tous se sont heurtés au mieux à des réticences, au pire à une levée de boucliers. À qui la faute ? Bernard Cerquiglini rouvre l'enquête et part à la recherche des coupables, ces opposants à la simplification orthographique. Ah ! Si seulement nous étions tous adeptes du ' phonocentrisme ', nous pourrions écrire les mots comme nous les prononçons.
Mais précisément : et si notre langue ne se prêtait pas à un tel idéal de graphie ? Ne vaudrait-il pas mieux réformer les réformateurs ? Retour sur un crime dont les complices ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit.
Pédagogues, grammairiens, linguistes et écrivains, de Ronsard à Queneau, de Louis Meigret à Ferdinand Brunot, tous se sont heurtés au mieux à des réticences, au pire à une levée de boucliers. À qui la faute ? Bernard Cerquiglini rouvre l'enquête et part à la recherche des coupables, ces opposants à la simplification orthographique. Ah ! Si seulement nous étions tous adeptes du ' phonocentrisme ', nous pourrions écrire les mots comme nous les prononçons.
Mais précisément : et si notre langue ne se prêtait pas à un tel idéal de graphie ? Ne vaudrait-il pas mieux réformer les réformateurs ? Retour sur un crime dont les complices ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit.
Force est de se rendre à l'évidence : la réforme de l'orthographe de 1990, dont Bernard Cerquiglini fut l'un des maîtres d'ouvre, n'a pas rencontré le succès escompté. Pourquoi d'ailleurs aurait-elle réussi là où toutes les autres ont échoué ?
Car elles furent nombreuses, les tentatives de remédier à ' l'absurdité de notre orthographe, qui est en vérité une des fabrications les plus cocasses du monde ' (Paul Valéry).
Pédagogues, grammairiens, linguistes et écrivains, de Ronsard à Queneau, de Louis Meigret à Ferdinand Brunot, tous se sont heurtés au mieux à des réticences, au pire à une levée de boucliers. À qui la faute ? Bernard Cerquiglini rouvre l'enquête et part à la recherche des coupables, ces opposants à la simplification orthographique. Ah ! Si seulement nous étions tous adeptes du ' phonocentrisme ', nous pourrions écrire les mots comme nous les prononçons.
Mais précisément : et si notre langue ne se prêtait pas à un tel idéal de graphie ? Ne vaudrait-il pas mieux réformer les réformateurs ? Retour sur un crime dont les complices ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit.
Pédagogues, grammairiens, linguistes et écrivains, de Ronsard à Queneau, de Louis Meigret à Ferdinand Brunot, tous se sont heurtés au mieux à des réticences, au pire à une levée de boucliers. À qui la faute ? Bernard Cerquiglini rouvre l'enquête et part à la recherche des coupables, ces opposants à la simplification orthographique. Ah ! Si seulement nous étions tous adeptes du ' phonocentrisme ', nous pourrions écrire les mots comme nous les prononçons.
Mais précisément : et si notre langue ne se prêtait pas à un tel idéal de graphie ? Ne vaudrait-il pas mieux réformer les réformateurs ? Retour sur un crime dont les complices ne sont pas nécessairement ceux qu'on croit.