Un troisième tome toujours aussi intéressant sur les jardins de Versailles et les petites mains qui doivent tout faire pour contenter les envies du roi dans un temps record. Inutile de dire que j’adore cette série, Anne-Marie Desplat-Duc est une valeur sûre de la littérature jeunesse.
Cette série est adaptée pour les jeunes lecteurs même si en tant qu’adultes, je me suis attachée à la famille Mazet et à leurs aventures. Le format, la couverture souple et le poids fait que les tomes sont faciles à glisser dans un sac, le seul reproche est les illustrations en gris. On retrouve
toujours l’aspect pédagogique (« A la découverte de… ») et le vocabulaire expliqué, avec la galerie de portraits des personnages présents dans ce tome
Les cinq frères et sœurs de la famille Mazet ont quitté le Vivarais et la misère pour se rendre à Versailles. gaspard est devenu le cocher de Mme De Montespan, Margot est la servante de Marie-Anne, la fille du roi et Andéol est un des balayeurs du château. Marguerite, jumelle de Margot espère trouver elle aussi une place et déambule dans les allées vers l’Orangerie où elle rencontre Jean Dupuis, le fils du responsable de l’Orangerie qui œuvre dans les jardins de Versailles.
Quand Le Bouteux, chef jardinier et patron de Jean disparaît avec le coffret contenant des bulbes de tulipes des Provinces-Unies et que Gaspard est accusé du vol, Marguerite aidé de Jean, Basile et Titou, orphelin en quête d’une nouvelle famille mènent l’enquête pour retrouver le coffret avant qu’il ne soit trop tard.
Un troisième tome qui nous emmène dans les coulisses de la vie à Versailles où cette fois-ci, on s’interroge sur le sort des orphelins dont les parents étaient les petites mains de la splendeur de Versailles. Les vols dans les potagers, les idées changeantes et chères du roi tandis que son peuple meurt de faim dans le plus total dénuement. Le lecteur apprend pleins de petites anecdotes sur le quotidien de ceux qui travaillent sans relâche et peu importe leur âge pour les aristocrates de la Cour.
Pour la famille Mazet, une seule chose, tout faire pour survivre et garder son emploi.
Une histoire attachante sur la vie des enfants du peuple dans le sillage de la Cour du Roi-Soleil !
Un troisième tome toujours aussi intéressant sur les jardins de Versailles et les petites mains qui doivent tout faire pour contenter les envies du roi dans un temps record. Inutile de dire que j’adore cette série, Anne-Marie Desplat-Duc est une valeur sûre de la littérature jeunesse.
Cette série est adaptée pour les jeunes lecteurs même si en tant qu’adultes, je me suis attachée à la famille Mazet et à leurs aventures. Le format, la couverture souple et le poids fait que les tomes sont faciles à glisser dans un sac, le seul reproche est les illustrations en gris. On retrouve toujours l’aspect pédagogique (« A la découverte de… ») et le vocabulaire expliqué, avec la galerie de portraits des personnages présents dans ce tome
Les cinq frères et sœurs de la famille Mazet ont quitté le Vivarais et la misère pour se rendre à Versailles. gaspard est devenu le cocher de Mme De Montespan, Margot est la servante de Marie-Anne, la fille du roi et Andéol est un des balayeurs du château. Marguerite, jumelle de Margot espère trouver elle aussi une place et déambule dans les allées vers l’Orangerie où elle rencontre Jean Dupuis, le fils du responsable de l’Orangerie qui œuvre dans les jardins de Versailles.
Quand Le Bouteux, chef jardinier et patron de Jean disparaît avec le coffret contenant des bulbes de tulipes des Provinces-Unies et que Gaspard est accusé du vol, Marguerite aidé de Jean, Basile et Titou, orphelin en quête d’une nouvelle famille mènent l’enquête pour retrouver le coffret avant qu’il ne soit trop tard.
Un troisième tome qui nous emmène dans les coulisses de la vie à Versailles où cette fois-ci, on s’interroge sur le sort des orphelins dont les parents étaient les petites mains de la splendeur de Versailles. Les vols dans les potagers, les idées changeantes et chères du roi tandis que son peuple meurt de faim dans le plus total dénuement. Le lecteur apprend pleins de petites anecdotes sur le quotidien de ceux qui travaillent sans relâche et peu importe leur âge pour les aristocrates de la Cour.
Pour la famille Mazet, une seule chose, tout faire pour survivre et garder son emploi.