A la périphérie du centre. Les limites de l'hégémonie en anthropologie

Par : Michelle Daveluy, Louis-Jacques Dorais

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages196
  • PrésentationBroché
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions15,3 cm × 22,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-89578-195-0
  • EAN9782895781950
  • Date de parution01/10/2009
  • CollectionCarrefours anthropologiques
  • ÉditeurLiber (Editions)

Résumé

Cet ouvrage tire son origine d'une table ronde sur l'hégémonie anthropologique à la périphérie du centre, présentée lors d'un colloque sur l'anthropologie des cultures globalisées (novembre 2007). L'objectif de cette table ronde était de réunir un certain nombre d'anthropologues s'adonnant à leurs activités dans des pays du "centre" , au sens wallersteinien du terme : Europe occidentale, Amérique du Nord, pays en émergence), mais en dehors des lieux d'où émane la majeure partie de la recherche anthropologique actuelle (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne).
Les participants se sont demandé, d'une part, jusqu'à quel point la quasi-hégémonie scientifique exercée par ces trois pays (doublée d'une hégémonie économique et politique dans le cas du premier) déterminait ou à tout le moins influençait leurs propres paradigmes épistémologiques et leurs problématiques théoriques et, d'autre part, s'il était possible d'avoir un impact réel sur la science anthropologique en travaillant à partir de la périphérie du "centre" , c'est-à-dire à la marge des trois pays cités.
Cet ouvrage tire son origine d'une table ronde sur l'hégémonie anthropologique à la périphérie du centre, présentée lors d'un colloque sur l'anthropologie des cultures globalisées (novembre 2007). L'objectif de cette table ronde était de réunir un certain nombre d'anthropologues s'adonnant à leurs activités dans des pays du "centre" , au sens wallersteinien du terme : Europe occidentale, Amérique du Nord, pays en émergence), mais en dehors des lieux d'où émane la majeure partie de la recherche anthropologique actuelle (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne).
Les participants se sont demandé, d'une part, jusqu'à quel point la quasi-hégémonie scientifique exercée par ces trois pays (doublée d'une hégémonie économique et politique dans le cas du premier) déterminait ou à tout le moins influençait leurs propres paradigmes épistémologiques et leurs problématiques théoriques et, d'autre part, s'il était possible d'avoir un impact réel sur la science anthropologique en travaillant à partir de la périphérie du "centre" , c'est-à-dire à la marge des trois pays cités.