Né à Paris en 1968, l’écrivain et traducteur Jérôme Ferrari est d’origine française. Il a passé son enfance et sa jeunesse entre Paris et la Corse. Titulaire de l’agrégation de philosophie, sa passion pour la littérature remonte à ses toutes premières années d'école. Il est aujourd’hui l’auteur de nombreux ouvrages.
Son œuvre « Le Sermon sur la chute de Rome » est sans doute l’une des plus connues. Ce roman lui a d’ailleurs permis de remporter le prix Goncourt. Dans ce livre, Jérôme Ferrari mène la réflexion sur le déclin de l’Occident. C’est l’histoire de deux parisiens d’origine corse. Ils décident de reprendre un bar perdu quelque part dans la montagne pour en faire un jardin paradisiaque. Ils veulent le transformer en un paradis sur terre. Cette quête d’une vie meilleure aboutira-t-elle ?
Philosophe, les questions sur l’existence sont au cœur des ouvrages de Jérôme Ferrari. Dans le roman « Où j'ai laissé mon âme », il s'interroge sur le bien et le mal, la souffrance et la peur. L’action se déroule en Algérie et met en scène le capitaine André Degorce, le lieutenant Horace Andreani et le commandant Tahar.
A fendre le coeur le plus dur
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.084 kg
- Dimensions11,1 cm × 17,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-330-08652-7
- EAN9782330086527
- Date de parution11/10/2017
- CollectionBabel
- ÉditeurBabel
- PostfacierPierre Schill
Résumé
Dans ce texte écrit à quatre mains, Jérôme Ferrari et Oliver Rohe s'appuient sur une archive historique, constituée de plus de deux cents photos prises lors du conflit italo-ottoman en Libye (1911-1912) par un dénommé Gaston Chérau, écrivain et correspondant de guerre. Ces images surprenantes et terribles établissent une sorte de canon du reportage de guerre au Moyen-Orient et posent la très actuelle question de la représentation de la violence.
En les regardant, en les commentant, en s'interrogeant sur la légitimité ou la nécessité de leur analyse, c'est aussi une réflexion commune sur leur propre art de romanciers que Ferrari et Rohe esquissent.
En les regardant, en les commentant, en s'interrogeant sur la légitimité ou la nécessité de leur analyse, c'est aussi une réflexion commune sur leur propre art de romanciers que Ferrari et Rohe esquissent.
Dans ce texte écrit à quatre mains, Jérôme Ferrari et Oliver Rohe s'appuient sur une archive historique, constituée de plus de deux cents photos prises lors du conflit italo-ottoman en Libye (1911-1912) par un dénommé Gaston Chérau, écrivain et correspondant de guerre. Ces images surprenantes et terribles établissent une sorte de canon du reportage de guerre au Moyen-Orient et posent la très actuelle question de la représentation de la violence.
En les regardant, en les commentant, en s'interrogeant sur la légitimité ou la nécessité de leur analyse, c'est aussi une réflexion commune sur leur propre art de romanciers que Ferrari et Rohe esquissent.
En les regardant, en les commentant, en s'interrogeant sur la légitimité ou la nécessité de leur analyse, c'est aussi une réflexion commune sur leur propre art de romanciers que Ferrari et Rohe esquissent.