Edgar Poe (1809-1849) commence à écrire en 1829. Considéré comme un poète maudit, ses écrits cauchemardesques et fantastiques sont aujourd'hui considérés comme précurseurs du surréalisme. C'est grâce aux traductions de Charles Baudelaire qu'il est connu en France.
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- Nombre de pages92
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.1 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 0,8 cm
- ISBN2-290-34289-0
- EAN9782290342893
- Date de parution01/05/1999
- CollectionLibrio imaginaire
- ÉditeurJ'ai lu
- TraducteurCharles Baudelaire
Résumé
Edgar Allan Poe (1809 -1849). L'œuvre de cet écrivain américain, traduite par Charles Baudelaire, a été l'objet d'un véritable culte en France. La maison Usher... Sinistre, mélancolique habitation dont les murs aveugles et froids se reflètent dans les eaux lugubres d'un grand lac à leur pied. Comment évoquer cet endroit sans frémir ? Oh, pas de terreur, non. La terreur même serait préférable à cette insupportable tristesse, ce total affaissement de l'âme qui saisit le voyageur quand il passe. Mais quand il s'arrête... Ah ! l'effroi qui enserre son cœur Et la pitié. Car sur ce domaine navrant de désolation pèse une atmosphère de chagrin. Et sur ses habitants, derniers rejetons d'une lignée si glorieusement ancienne, un air de mélancolie âpre, profonde, incurable. Et le drame, le drame insensé qui va se jouer entre ces murs ne peut être qu'effroyable...
Edgar Allan Poe (1809 -1849). L'œuvre de cet écrivain américain, traduite par Charles Baudelaire, a été l'objet d'un véritable culte en France. La maison Usher... Sinistre, mélancolique habitation dont les murs aveugles et froids se reflètent dans les eaux lugubres d'un grand lac à leur pied. Comment évoquer cet endroit sans frémir ? Oh, pas de terreur, non. La terreur même serait préférable à cette insupportable tristesse, ce total affaissement de l'âme qui saisit le voyageur quand il passe. Mais quand il s'arrête... Ah ! l'effroi qui enserre son cœur Et la pitié. Car sur ce domaine navrant de désolation pèse une atmosphère de chagrin. Et sur ses habitants, derniers rejetons d'une lignée si glorieusement ancienne, un air de mélancolie âpre, profonde, incurable. Et le drame, le drame insensé qui va se jouer entre ces murs ne peut être qu'effroyable...