On aura tout vu

Par : Georges Lautner

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  • Nombre de pages275
  • PrésentationBroché
  • Poids0.48 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-08-068690-9
  • EAN9782080686909
  • Date de parution17/10/2005
  • CollectionPop Culture
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Georges Lautner a voué sa vie au septième Art ; une carrière iconoclaste qui a forcé, au pied de biche, la porte du patrimoine cinématographique. Nourri dans le sérail du cinéma français, il devient assistant, très jeune, après des études de droit. Il gravit ensuite, un à un, les échelons du cursus traditionnel avant de réaliser son premier film en 1959, Marche ou crève, et de connaître, deux ans plus tard, le grand succès commercial avec Le Monocle noir. Les Tontons flingueurs, Les Barbouzes, Ne nous fâchons pas, Le Pacha, Mort d'un pourri, Flic ou Voyou, Le Professionnel, Le Guignolo... Qui ne connaît ses films devenus " cultes " ? Jean-Paul Belmondo, Bernard Blier, Mireille Darc, Alain Delon, Louis de Funès, Jean Gabin, Paul Meurisse, Lino Ventura... Lautner a dirigé les plus grands, avant de révéler une génération de comédiens (Miou-Miou, Gérard Lanvin...) et d'inviter en France quelques légendes hollywoodiennes (Rita Hayworth, Robert Mitchum...). Soit une cinquantaine de films et soixante ans de carrière que Georges Lautner évoque, ici, avec une verve inimitable. " J'ai eu la joie de collaborer à certaines de ces œuvres, pas à toutes, eh bien que "j'y sois" ou non, je retrouve ce ton très particulier qu'il faut bien, à la fin des fins, appeler lautnerien. Lautner, ça existe. Voilà. Il faut bien admettre que pour s'être imposé (et comment !) dans ce boulot où nulle réussite n'est le fruit du hasard, Lautner possède quelques petites qualités personnelles. Lesquelles ? Une complicité instantanée, presque magique, avec les comédiens, un amour minutieux du cadrage, une certaine passion pour la pyrotechnie, et surtout un sens prodigieux du rythme aidé par le fait (j'allais oublier ce détail !) que Georges Lautner est le meilleur monteur du cinéma français. C'est pas si mal, tout ça. " Michel Audiard
Georges Lautner a voué sa vie au septième Art ; une carrière iconoclaste qui a forcé, au pied de biche, la porte du patrimoine cinématographique. Nourri dans le sérail du cinéma français, il devient assistant, très jeune, après des études de droit. Il gravit ensuite, un à un, les échelons du cursus traditionnel avant de réaliser son premier film en 1959, Marche ou crève, et de connaître, deux ans plus tard, le grand succès commercial avec Le Monocle noir. Les Tontons flingueurs, Les Barbouzes, Ne nous fâchons pas, Le Pacha, Mort d'un pourri, Flic ou Voyou, Le Professionnel, Le Guignolo... Qui ne connaît ses films devenus " cultes " ? Jean-Paul Belmondo, Bernard Blier, Mireille Darc, Alain Delon, Louis de Funès, Jean Gabin, Paul Meurisse, Lino Ventura... Lautner a dirigé les plus grands, avant de révéler une génération de comédiens (Miou-Miou, Gérard Lanvin...) et d'inviter en France quelques légendes hollywoodiennes (Rita Hayworth, Robert Mitchum...). Soit une cinquantaine de films et soixante ans de carrière que Georges Lautner évoque, ici, avec une verve inimitable. " J'ai eu la joie de collaborer à certaines de ces œuvres, pas à toutes, eh bien que "j'y sois" ou non, je retrouve ce ton très particulier qu'il faut bien, à la fin des fins, appeler lautnerien. Lautner, ça existe. Voilà. Il faut bien admettre que pour s'être imposé (et comment !) dans ce boulot où nulle réussite n'est le fruit du hasard, Lautner possède quelques petites qualités personnelles. Lesquelles ? Une complicité instantanée, presque magique, avec les comédiens, un amour minutieux du cadrage, une certaine passion pour la pyrotechnie, et surtout un sens prodigieux du rythme aidé par le fait (j'allais oublier ce détail !) que Georges Lautner est le meilleur monteur du cinéma français. C'est pas si mal, tout ça. " Michel Audiard